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Au cas où la remise du mis en cause à l'Espagne ne serait pas possible, le parquet demandera au juge Velasco de réclamer auprès des autorités marocaines que Belhaj soit jugé dans le Royaume pour son implication présumée dans les attaques terroristes de Madrid, ajoutent des sources du ministère public, citées par l'agence "EFE".
Il s'agit des principales démarches que devrait entamer le juge Velasco dès la notification par le Maroc, à travers Interpol, de la détention de Belhaj, extradé récemment de Syrie et recherché par l'Espagne pour avoir loué un appartement à Leganès, en banlieue madrilène, où s'étaient suicidé sept auteurs matériels des attentats de Madrid.
Les mêmes sources estiment que la procédure qui sera suivie dans la cas de Belhaj sera semblable à celle adoptée dans le cas de Abdellilah Hriz qui a été jugé et condamné au Maroc pour son implication dans les mêmes actes terroristes.
"EFE" rappelle qu'après l'arrestation de Belhaj, trois personnes, en rapport avec les attentats du 11 mars, sont encore recherchées par les autorités espagnoles, à savoir Said Berraj, Daoud Ouhnane et Mohamed Afallah.
Il s'agit des principales démarches que devrait entamer le juge Velasco dès la notification par le Maroc, à travers Interpol, de la détention de Belhaj, extradé récemment de Syrie et recherché par l'Espagne pour avoir loué un appartement à Leganès, en banlieue madrilène, où s'étaient suicidé sept auteurs matériels des attentats de Madrid.
Les mêmes sources estiment que la procédure qui sera suivie dans la cas de Belhaj sera semblable à celle adoptée dans le cas de Abdellilah Hriz qui a été jugé et condamné au Maroc pour son implication dans les mêmes actes terroristes.
"EFE" rappelle qu'après l'arrestation de Belhaj, trois personnes, en rapport avec les attentats du 11 mars, sont encore recherchées par les autorités espagnoles, à savoir Said Berraj, Daoud Ouhnane et Mohamed Afallah.
