À Paris, le CAC 40 a terminé en hausse de 0,2% à 5.893,13 points. Le Footsie britannique a gagné 1,22%, boosté par les valeurs minières et la baisse de la livre et le Dax allemand a avancé de 0,2%.
L’indice EuroStoxx 50 s’est octroyé 0,21%, le FTSEurofirst 300 a pris 0,46% et le Stoxx 600 a gagné 0,44%.
Sur la semaine, le Stoxx 600 a cédé 0,51% et le CAC 40 parisien 0,78%.
La plupart des indices européens ont réduit leurs gains après la publication des premiers résultats des enquêtes Markit auprès des directeurs d’achats de la zone euro, qui montrent une baisse inattendue de la croissance de l’activité dans le secteur privé en novembre.
Les marchés sont toutefois parvenus à finir dans le vert grâce à l’annonce d’une détérioration moins marquée qu’anticipé de la conjoncture en Allemagne et d’un légère accélération de la croissance du secteur privé en France.
Sur le front commercial, Donald Trump a déclaré que les Etats-Unis et la Chine étaient “potentiellement très proches” d’un accord à même de régler leur litige commercial.
Quelques heures plus tôt, le président chinois, Xi Jinping, avait assuré que Pékin voulait conclure la “phase un” d’un accord commercial avec Washington, ajoutant toutefois qu’elle n’avait pas peur de prendre des mesures de rétorsion si nécessaire.
Par ailleurs, dans le dossier Huawei, l’autorité américaine du secteur des communications va désigner dans la journée le géant chinois des télécoms et ZTE comme des risques pour la sécurité nationale des Etats-Unis, privant les opérateurs américains de recourir à des financements fédéraux pour leur acheter des équipements et des services.
VALEURS
L’indice Stoxx des matières premières, très sensible ces derniers jours au flux de nouvelles parfois divergentes sur le commerce USA-Chine, a progressé de 1,83%, la plus forte hausse sectorielle.
A Paris, ArcelorMittal a gagné 6,62%, la plus forte hausse du Stoxx 600.
A la baisse, Edenred a reculé de 2,43% après avoir annoncé avoir été victime la veille d’une infection par des logiciels malveillants.
A WALL STREET
Au moment de la clôture européenne, Wall Street évoluait dans le désordre, entre les déclarations encourageantes des présidents américain et chinois sur le commerce et la baisse de Tesla.
Le Dow Jones gagnait 0,28% et le Standard & Poor’s 500 prenait à peine 0,1%.
Le Nasdaq Composite, lui, reculait de 0,09%, pénalisé par le constructeur automobile Tesla (-6,06%) après l’accueil mitigé fait à son premier pick-up électrique au design futuriste.
LES INDICATEURS DU JOUR
Outre les indices PMI en Europe, le marché a pris connaissance d’une accélération plus importante que prévu de l’activité dans le secteur privé aux Etats-Unis en novembre, signe que l’économie américaine résiste face aux tensions commerciales.
IHS Markit a annoncé que son indice PMI “flash” sur l’activité manufacturière était revenu à 52,2 ce mois-ci contre 51,3 en octobre et, sur l’activité des services, l’indice est remonté à 51,6 contre 50,6.
Les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan ont montré que le moral des ménages américains s’était amélioré en novembre.
CHANGES
L’”indice dollar” a accéléré ses gains après l’annonce des indices PMI “flash” américains, remontant à un plus haut d’une semaine face à un panier de devises internationales. L’euro, qui évoluait proche de l’équilibre avant cette statistique, est logiquement reparti à la baisse. Il cède 0,26% à 1,1028 dollar, un plus bas depuis le 15 novembre.
La monnaie unique était déjà affectée par les chiffres moins bons que prévu des PMI “flash” pour la zone euro.
La livre sterling recule de 0,6% face au dollar et de 0,4% face à l’euro, après l’annonce de la baisse de l’activité du secteur privé britannique, qui affiche sa pire performance depuis 2016.
TAUX
Les chiffres des PMI “flash” en zone euro ont fait reculer les rendements des emprunts d’Etat de la région. Le Bund allemand à 10 ans a perdu plus de trois points de base, à -0,36%.
Son équivalent français a fléchi à -0,042% alors qu’il était repassé positif après les PMI français.
Le rendement du 10 ans américain est quasiment inchangé, à 1,767%.
PÉTROLE
Le marché pétrolier recule après une hausse soutenue jeudi qui l’a porté au plus haut depuis près de deux mois: le Brent abandonne 0,88% à 63,41 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) perd 1,28% à 57,83 dollars.
L’indice EuroStoxx 50 s’est octroyé 0,21%, le FTSEurofirst 300 a pris 0,46% et le Stoxx 600 a gagné 0,44%.
Sur la semaine, le Stoxx 600 a cédé 0,51% et le CAC 40 parisien 0,78%.
La plupart des indices européens ont réduit leurs gains après la publication des premiers résultats des enquêtes Markit auprès des directeurs d’achats de la zone euro, qui montrent une baisse inattendue de la croissance de l’activité dans le secteur privé en novembre.
Les marchés sont toutefois parvenus à finir dans le vert grâce à l’annonce d’une détérioration moins marquée qu’anticipé de la conjoncture en Allemagne et d’un légère accélération de la croissance du secteur privé en France.
Sur le front commercial, Donald Trump a déclaré que les Etats-Unis et la Chine étaient “potentiellement très proches” d’un accord à même de régler leur litige commercial.
Quelques heures plus tôt, le président chinois, Xi Jinping, avait assuré que Pékin voulait conclure la “phase un” d’un accord commercial avec Washington, ajoutant toutefois qu’elle n’avait pas peur de prendre des mesures de rétorsion si nécessaire.
Par ailleurs, dans le dossier Huawei, l’autorité américaine du secteur des communications va désigner dans la journée le géant chinois des télécoms et ZTE comme des risques pour la sécurité nationale des Etats-Unis, privant les opérateurs américains de recourir à des financements fédéraux pour leur acheter des équipements et des services.
VALEURS
L’indice Stoxx des matières premières, très sensible ces derniers jours au flux de nouvelles parfois divergentes sur le commerce USA-Chine, a progressé de 1,83%, la plus forte hausse sectorielle.
A Paris, ArcelorMittal a gagné 6,62%, la plus forte hausse du Stoxx 600.
A la baisse, Edenred a reculé de 2,43% après avoir annoncé avoir été victime la veille d’une infection par des logiciels malveillants.
A WALL STREET
Au moment de la clôture européenne, Wall Street évoluait dans le désordre, entre les déclarations encourageantes des présidents américain et chinois sur le commerce et la baisse de Tesla.
Le Dow Jones gagnait 0,28% et le Standard & Poor’s 500 prenait à peine 0,1%.
Le Nasdaq Composite, lui, reculait de 0,09%, pénalisé par le constructeur automobile Tesla (-6,06%) après l’accueil mitigé fait à son premier pick-up électrique au design futuriste.
LES INDICATEURS DU JOUR
Outre les indices PMI en Europe, le marché a pris connaissance d’une accélération plus importante que prévu de l’activité dans le secteur privé aux Etats-Unis en novembre, signe que l’économie américaine résiste face aux tensions commerciales.
IHS Markit a annoncé que son indice PMI “flash” sur l’activité manufacturière était revenu à 52,2 ce mois-ci contre 51,3 en octobre et, sur l’activité des services, l’indice est remonté à 51,6 contre 50,6.
Les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan ont montré que le moral des ménages américains s’était amélioré en novembre.
CHANGES
L’”indice dollar” a accéléré ses gains après l’annonce des indices PMI “flash” américains, remontant à un plus haut d’une semaine face à un panier de devises internationales. L’euro, qui évoluait proche de l’équilibre avant cette statistique, est logiquement reparti à la baisse. Il cède 0,26% à 1,1028 dollar, un plus bas depuis le 15 novembre.
La monnaie unique était déjà affectée par les chiffres moins bons que prévu des PMI “flash” pour la zone euro.
La livre sterling recule de 0,6% face au dollar et de 0,4% face à l’euro, après l’annonce de la baisse de l’activité du secteur privé britannique, qui affiche sa pire performance depuis 2016.
TAUX
Les chiffres des PMI “flash” en zone euro ont fait reculer les rendements des emprunts d’Etat de la région. Le Bund allemand à 10 ans a perdu plus de trois points de base, à -0,36%.
Son équivalent français a fléchi à -0,042% alors qu’il était repassé positif après les PMI français.
Le rendement du 10 ans américain est quasiment inchangé, à 1,767%.
PÉTROLE
Le marché pétrolier recule après une hausse soutenue jeudi qui l’a porté au plus haut depuis près de deux mois: le Brent abandonne 0,88% à 63,41 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) perd 1,28% à 57,83 dollars.