"La promotion de l'anarchie et du vandalisme par les puissances ainsi que par les médias occidentaux est absolument inacceptable", a jugé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"En contradiction avec les normes internationalement reconnues, de nombreux pays européens et l'Amérique soutiennent les émeutiers et les opportunistes au lieu d'inviter le peuple à s'en remettre aux institutions de la démocratie", a ajouté Hassan Qashqavi cité par Press TV, la télévision publique iranienne en langue anglaise.
Dimanche, le président Mahmoud Ahmadinejad, dont la réélection est à l'origine de la contestation, avait demandé aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne de cesser leurs ingérences dans les affaires intérieures de l'Iran.
Le président américain, Barack Obama, a exhorté ce week-end le gouvernement iranien à "mettre fin aux violences et aux actions injustes contre son propre peuple".
A Londres, le ministre britannique des Affaires étrangères, David Miliband, a "catégoriquement rejeté l'idée selon laquelle les manifestants iraniens (seraient) manipulés ou inspirés par des pays étrangers".
La chancelière allemande Angela Merkel, pour sa part, a demandé aux autorités iraniennes d'autoriser les manifestations pacifiques et de procéder à un nouveau dépouillement du scrutin présidentiel.
Le correspondant de la BBC à Téhéran, Jon Leyne, a été prié de quitter le pays dans les vingt-quatre heures pour avoir, selon l'agence iranienne Fars, manqué de neutralité dans ses reportages et avoir diffusé des fausses nouvelles.
Lundi, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères n'a pas exclu d'éventuelles expulsions d'ambassadeurs en poste à Téhéran, notant que les autorités iraniennes étudiaient cette possibilité.
Il a également affirmé que des représentations diplomatiques de la république islamique à l'étranger avaient été la cible d'attaques. "Nous ne pensons pas que quiconque puisse attaquer un centre diplomatique sans que les autorités et la police locales n'en soient informées", a-t-il dit.
"En contradiction avec les normes internationalement reconnues, de nombreux pays européens et l'Amérique soutiennent les émeutiers et les opportunistes au lieu d'inviter le peuple à s'en remettre aux institutions de la démocratie", a ajouté Hassan Qashqavi cité par Press TV, la télévision publique iranienne en langue anglaise.
Dimanche, le président Mahmoud Ahmadinejad, dont la réélection est à l'origine de la contestation, avait demandé aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne de cesser leurs ingérences dans les affaires intérieures de l'Iran.
Le président américain, Barack Obama, a exhorté ce week-end le gouvernement iranien à "mettre fin aux violences et aux actions injustes contre son propre peuple".
A Londres, le ministre britannique des Affaires étrangères, David Miliband, a "catégoriquement rejeté l'idée selon laquelle les manifestants iraniens (seraient) manipulés ou inspirés par des pays étrangers".
La chancelière allemande Angela Merkel, pour sa part, a demandé aux autorités iraniennes d'autoriser les manifestations pacifiques et de procéder à un nouveau dépouillement du scrutin présidentiel.
Le correspondant de la BBC à Téhéran, Jon Leyne, a été prié de quitter le pays dans les vingt-quatre heures pour avoir, selon l'agence iranienne Fars, manqué de neutralité dans ses reportages et avoir diffusé des fausses nouvelles.
Lundi, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères n'a pas exclu d'éventuelles expulsions d'ambassadeurs en poste à Téhéran, notant que les autorités iraniennes étudiaient cette possibilité.
Il a également affirmé que des représentations diplomatiques de la république islamique à l'étranger avaient été la cible d'attaques. "Nous ne pensons pas que quiconque puisse attaquer un centre diplomatique sans que les autorités et la police locales n'en soient informées", a-t-il dit.