Le centre Maher, dépendant du ministère iranien des Télécommunications, a "réussi à identifier le virus Flame puis à préparer un anti-virus capable de l'identifier et de l'éliminer", selon un communiqué posté sur le site de cette organisation.
Cet anti-virus "est à la disposition des organes et des administrations qui en font la demande", ajoute le communiqué qui n'indique pas quand ni comment le virus à été découvert, ni quels dégâts il aurait déjà pu faire en Iran.
L'agence Fars a affirmé de son cô té mardi, citant le centre Maher, que Flame était "responsable du vol d'informations sur une grande échelle au cours des dernières semaines", sans préciser quels types de données avaient été piratées ni où.
L'éditeur russe de logiciels antivirus Kaspersky Lab a annoncé avoir identifié Flame comme un nouveau virus d'espionnage informatique au potentiel destructeur inégalé, qui aurait été utilisé comme une "cyber-arme" contre plusieurs pays non identifiés.
Selon l'agence Fars, Flame serait "particulièrement actif" en Iran, au Soudan, en Syrie, en Israël, en Arabie Saoudite et en Egypte.
"La complexité et la fonctionnalité du programme récemment détecté dépassent celles de toutes les autres cybermenaces connues à ce jour", a souligné Kaspersky Lab.
Ce virus serait "vingt fois plus important que Stuxnet", détecté en 2010 et utilisé notamment contre le programme nucléaire iranien, selon la compagnie russe.
Flame "peut voler des informations importantes, pas uniquement contenues dans les ordinateurs, des informations sur des systèmes visés, des documents archivés, des contacts d'utilisateurs et même des enregistrements audio de conversations", a-t-elle ajouté.
Cet anti-virus "est à la disposition des organes et des administrations qui en font la demande", ajoute le communiqué qui n'indique pas quand ni comment le virus à été découvert, ni quels dégâts il aurait déjà pu faire en Iran.
L'agence Fars a affirmé de son cô té mardi, citant le centre Maher, que Flame était "responsable du vol d'informations sur une grande échelle au cours des dernières semaines", sans préciser quels types de données avaient été piratées ni où.
L'éditeur russe de logiciels antivirus Kaspersky Lab a annoncé avoir identifié Flame comme un nouveau virus d'espionnage informatique au potentiel destructeur inégalé, qui aurait été utilisé comme une "cyber-arme" contre plusieurs pays non identifiés.
Selon l'agence Fars, Flame serait "particulièrement actif" en Iran, au Soudan, en Syrie, en Israël, en Arabie Saoudite et en Egypte.
"La complexité et la fonctionnalité du programme récemment détecté dépassent celles de toutes les autres cybermenaces connues à ce jour", a souligné Kaspersky Lab.
Ce virus serait "vingt fois plus important que Stuxnet", détecté en 2010 et utilisé notamment contre le programme nucléaire iranien, selon la compagnie russe.
Flame "peut voler des informations importantes, pas uniquement contenues dans les ordinateurs, des informations sur des systèmes visés, des documents archivés, des contacts d'utilisateurs et même des enregistrements audio de conversations", a-t-elle ajouté.