"Nous conseillons au porte-avions américain qui a traversé le détroit d'Ormuz et se trouve en mer d'Oman de ne pas retourner dans le Golfe Persique", a déclaré le général Salehi, ajoutant que "la République islamique d'Iran n'a pas l'intention de répéter son avertissement".
Le porte-avions américain John C. Stennis qui se trouvait dans le Golfe a traversé la semaine dernière le détroit d'Ormuz pour se rendre en mer d'Oman, alors que la marine iranienne menait des manoeuvres navales dans la région.
Les Etats-Unis ont critiqué ces derniers jours le "comportement irrationnel de l'Iran" et affirmé qu'"aucune perturbation du trafic maritime dans le détroit d'Ormuz ne serait tolérée".
La marine iranienne a mené dix jours de manoeuvres navales dans la région du détroit d'Ormuz, un canal stratégique par où transite 35% du trafic pétrolier maritime mondial.
Des responsables militaires iraniens ont déclaré à plusieurs reprises que l'Iran pouvait fermer le détroit d'Ormuz en cas de nouvelles sanctions contre les exportations pétrolières du pays, agitées par les Etats-Unis et certains pays européens, en particulier la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, pour amener l'Iran à céder sur son programme nucléaire controversé.
Lundi, au dernier jour des manoeuvres navales, l'Iran a testé plusieurs missiles de croisière, notamment les missiles Ghader et Nour qui ont une portée de 200 km et qui peuvent atteindre des cibles dans le détroit d'Ormuz, en mer d'Oman et dans le Golfe.
Le porte-avions américain John C. Stennis qui se trouvait dans le Golfe a traversé la semaine dernière le détroit d'Ormuz pour se rendre en mer d'Oman, alors que la marine iranienne menait des manoeuvres navales dans la région.
Les Etats-Unis ont critiqué ces derniers jours le "comportement irrationnel de l'Iran" et affirmé qu'"aucune perturbation du trafic maritime dans le détroit d'Ormuz ne serait tolérée".
La marine iranienne a mené dix jours de manoeuvres navales dans la région du détroit d'Ormuz, un canal stratégique par où transite 35% du trafic pétrolier maritime mondial.
Des responsables militaires iraniens ont déclaré à plusieurs reprises que l'Iran pouvait fermer le détroit d'Ormuz en cas de nouvelles sanctions contre les exportations pétrolières du pays, agitées par les Etats-Unis et certains pays européens, en particulier la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, pour amener l'Iran à céder sur son programme nucléaire controversé.
Lundi, au dernier jour des manoeuvres navales, l'Iran a testé plusieurs missiles de croisière, notamment les missiles Ghader et Nour qui ont une portée de 200 km et qui peuvent atteindre des cibles dans le détroit d'Ormuz, en mer d'Oman et dans le Golfe.