Les Royal Marines britanniques ont saisi jeudi le supertanker Grace 1 qu’ils soupçonnent de vouloir acheminer du pétrole en Syrie en violation des sanctions imposées par l’Union européenne depuis 2011, au début de la guerre.
Les autorités de Gibraltar ont annoncé vendredi que le bateau resterait immobilisé pendant quatorze jours supplémentaires.
“Si la Grande-Bretagne ne laisse pas repartir le pétrolier iranien, il sera du devoir des autorités de saisir un pétrolier britannique”, a déclaré sur Twitter le général Mohsen Rezaï, qui est également secrétaire du puissant Conseil de discernement de l’intérêt supérieur du régime.
“En 40 ans d’histoire, l’Iran islamique n’a jamais déclenché les hostilités dans aucune bataille, mais n’a jamais hésité non plus à répondre aux intimidations”, a-t-il ajouté.
Le Grace 1 a été arraisonné au large de Gibraltar, un territoire britannique situé à la pointe sud de l’Espagne.
L’équipage, composé de 28 marins majoritairement indiens, mais également pakistanais et ukrainiens, était interrogé vendredi par la police et les douanes à bord du navire.
Les hommes sont considérés comme témoins, et non comme suspects d’une infraction. Les autorités de Gibraltar cherchent à obtenir davantage d’informations sur la nature de la cargaison et sa destination.
L’ambassadeur de Grande-Bretagne en poste à Téhéran a été convoqué jeudi par les autorités iraniennes qui lui ont fait part de “leur très forte objection” à l’arraisonnement du Grace 1.
Les autorités de Gibraltar ont annoncé vendredi que le bateau resterait immobilisé pendant quatorze jours supplémentaires.
“Si la Grande-Bretagne ne laisse pas repartir le pétrolier iranien, il sera du devoir des autorités de saisir un pétrolier britannique”, a déclaré sur Twitter le général Mohsen Rezaï, qui est également secrétaire du puissant Conseil de discernement de l’intérêt supérieur du régime.
“En 40 ans d’histoire, l’Iran islamique n’a jamais déclenché les hostilités dans aucune bataille, mais n’a jamais hésité non plus à répondre aux intimidations”, a-t-il ajouté.
Le Grace 1 a été arraisonné au large de Gibraltar, un territoire britannique situé à la pointe sud de l’Espagne.
L’équipage, composé de 28 marins majoritairement indiens, mais également pakistanais et ukrainiens, était interrogé vendredi par la police et les douanes à bord du navire.
Les hommes sont considérés comme témoins, et non comme suspects d’une infraction. Les autorités de Gibraltar cherchent à obtenir davantage d’informations sur la nature de la cargaison et sa destination.
L’ambassadeur de Grande-Bretagne en poste à Téhéran a été convoqué jeudi par les autorités iraniennes qui lui ont fait part de “leur très forte objection” à l’arraisonnement du Grace 1.