Hossein Amir Abdollahian
"Tant que la répression contre la population bahreïnie par le pouvoir continue, l'Iran ne décidera pas du retour de son ambassadeur dans ce pays", a déclaré Hossein Amir Abdollahian.
"Le retour à Téhéran de l'ambassadeur de Bahreïn est une décision du gouvernement bahreïni", a-t-il ajouté.
L'ambassadeur de Bahreïn en Iran a repris ses fonctions le 12 août dans ce pays après une absence d'un an et demi, avait annoncé sur Twitter le ministre bahreïni des Affaires étrangères, Khaled Ben Ahmed Al-Khalifa sans préciser la date ni les circonstances du retour de l'ambassadeur.
Les relations entre Manama et Téhéran sont tendues depuis le déploiement au Bahreïn en mars 2011 de troupes saoudiennes pour participer à la répression du mouvement de protestation de la population, majoritairement chiite - comme en Iran - contre la dynastie sunnite, soutenue par l'Arabie saoudite.
Le 15 mars 2011, Bahreïn avait rappelé son ambassadeur à Téhéran pour protester contre les critiques iraniennes après le déploiement des forces saoudiennes dans le royaume.
L'Iran avait dès le lendemain pris une mesure similaire en rappelant son ambassadeur en poste à Manama.
"Le retour à Téhéran de l'ambassadeur de Bahreïn est une décision du gouvernement bahreïni", a-t-il ajouté.
L'ambassadeur de Bahreïn en Iran a repris ses fonctions le 12 août dans ce pays après une absence d'un an et demi, avait annoncé sur Twitter le ministre bahreïni des Affaires étrangères, Khaled Ben Ahmed Al-Khalifa sans préciser la date ni les circonstances du retour de l'ambassadeur.
Les relations entre Manama et Téhéran sont tendues depuis le déploiement au Bahreïn en mars 2011 de troupes saoudiennes pour participer à la répression du mouvement de protestation de la population, majoritairement chiite - comme en Iran - contre la dynastie sunnite, soutenue par l'Arabie saoudite.
Le 15 mars 2011, Bahreïn avait rappelé son ambassadeur à Téhéran pour protester contre les critiques iraniennes après le déploiement des forces saoudiennes dans le royaume.
L'Iran avait dès le lendemain pris une mesure similaire en rappelant son ambassadeur en poste à Manama.