"J'ai annoncé mon intention de mettre mon veto. La Pologne s'est mise avec nous", a-t-il déclaré au cours d'un point de presse après le début du sommet des dirigeants de l'UE à Bruxelles.
"Nos entreprises ne sont absolument pas en mesure aujourd'hui de supporter les coûts de la réglementation proposée", a-t-il expliqué.
"Les engagements pris sont confrontés à la crise. Nous ne croyons pas que le moment est venu de faire les Don Quichotte, d'aller seuls alors que les pays gros producteurs de CO2 comme les Etats-Unis ou la Chine sont absolument contre une adhésion à notre projet", a-t-il ajouté.
L'UE veut arriver d'ici fin décembre à un accord politique sur une série de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des industriels, des transports et des ménages, afin d'arriver en 2020 à une baisse globale de 20% des émissions par rapport à 1990. Un objectif que l'Union européenne s'était fixé à l'unanimité en 2007.
"Tout cela est pour 2020. Nous avons le temps", a-t-il conclu.
"Nos entreprises ne sont absolument pas en mesure aujourd'hui de supporter les coûts de la réglementation proposée", a-t-il expliqué.
"Les engagements pris sont confrontés à la crise. Nous ne croyons pas que le moment est venu de faire les Don Quichotte, d'aller seuls alors que les pays gros producteurs de CO2 comme les Etats-Unis ou la Chine sont absolument contre une adhésion à notre projet", a-t-il ajouté.
L'UE veut arriver d'ici fin décembre à un accord politique sur une série de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des industriels, des transports et des ménages, afin d'arriver en 2020 à une baisse globale de 20% des émissions par rapport à 1990. Un objectif que l'Union européenne s'était fixé à l'unanimité en 2007.
"Tout cela est pour 2020. Nous avons le temps", a-t-il conclu.