La résolution, adoptée à l'unanimité par les 15 pays et portée par la Russie, engage "les autorités libyennes à empêcher la prolifération d'armes dans la région du Sahel". Ainsi, la
résolution 2017 appelle Tripoli "à prendre toutes les mesures voulues pour empêcher la prolifération de tous types d'armes et de matériel connexe, en particulier de missiles sol-air portables".
Les lance-missiles sol-air portables, appelés "Manpads", peuvent servir à abattre des avions et des hélicoptères et sont très prisés par les groupes radicaux.
Le Conseil a en outre demandé à la Libye de coopérer avec l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques afin de détruire ses stocks restant. La semaine dernière, le Conseil national de transition libyen (CNT) a dit que les armes chimiques étaient sous bonne garde.
L'Onu craint notamment de voir les armes tomber entre les mains d'Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique).
Des diplomates ont confié en aparté que certaines armes utilisées lors de la guerre civile libyenne se trouvaient déjà au Soudan, dans la région du Darfour.
Selon l'hebdomadaire allemand "Der Spiegel", l'amiral Giampaolo di Paola, haut responsable de l'Otan, aurait dit lors d'une réunion à huis clos avec des députés allemands que l'Alliance atlantique avait perdu la trace de 10.000 missiles de ce type appartenant aux kadhafistes.
résolution 2017 appelle Tripoli "à prendre toutes les mesures voulues pour empêcher la prolifération de tous types d'armes et de matériel connexe, en particulier de missiles sol-air portables".
Les lance-missiles sol-air portables, appelés "Manpads", peuvent servir à abattre des avions et des hélicoptères et sont très prisés par les groupes radicaux.
Le Conseil a en outre demandé à la Libye de coopérer avec l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques afin de détruire ses stocks restant. La semaine dernière, le Conseil national de transition libyen (CNT) a dit que les armes chimiques étaient sous bonne garde.
L'Onu craint notamment de voir les armes tomber entre les mains d'Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique).
Des diplomates ont confié en aparté que certaines armes utilisées lors de la guerre civile libyenne se trouvaient déjà au Soudan, dans la région du Darfour.
Selon l'hebdomadaire allemand "Der Spiegel", l'amiral Giampaolo di Paola, haut responsable de l'Otan, aurait dit lors d'une réunion à huis clos avec des députés allemands que l'Alliance atlantique avait perdu la trace de 10.000 missiles de ce type appartenant aux kadhafistes.