La résolution interdit toutes les exportations et la plupart des importations d'armes par Pyongyang. Elle autorise les Etats membres de l'Onu à inspecter les cargaisons coréennes maritimes, aériennes et terrestres et leur demande de saisir et de détruire tout produit transporté en violation des sanctions.
La Chine et la Russie, qui avaient dans le passé été réticentes à approuver des sanctions contre la Corée du Nord, ont soutenu le texte qui a maintenant valeur contraignante en droit international.
L'ambassadeur des Etats-Unis, Rosemary DiCarlo, a estimé que la nouvelle résolution instaurait "des sanctions nettement plus fortes" contre Pyongyang.
Le représentant permanent de la Chine, Zhang Yesui, a déclaré que la résolution démontrait la "ferme opposition" du monde aux ambitions nucléaires de Pyongyang et il a exhorté la Corée du Nord à mettre fin à son programme d'armement nucléaire.
"Nous exhortons fermement la République populaire démocratique de Corée à honorer ses engagements de dénucléarisation, à arrêter toute initiative qui pourrait empirer la situation et à reprendre les discussions à six", a dit Zhang en évoquant les discussions réunissant les deux Corées, le Japon, la Chine, la Russie et les Etats-Unis.
De sources diplomatiques, on s'interroge cependant sur la volonté de Pékin d'appliquer intégralement ces sanctions. La Chine a ignoré les directives contenues dans une résolution contre la Corée du Nord adoptée en octobre 2006, après le premier essai nucléaire nord-coréen.
La France a salué cette résolution et appelé "la Corée du Nord à s'abstenir de nouvelles provocations qui ne feraient qu'attiser les tensions dans la région" par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"La communauté internationale a réagi avec fermeté à ces graves provocations en renforçant de façon significative le régime de sanctions à l'encontre de la Corée du Nord", poursuit-il dans un communiqué.
La Chine et la Russie, qui avaient dans le passé été réticentes à approuver des sanctions contre la Corée du Nord, ont soutenu le texte qui a maintenant valeur contraignante en droit international.
L'ambassadeur des Etats-Unis, Rosemary DiCarlo, a estimé que la nouvelle résolution instaurait "des sanctions nettement plus fortes" contre Pyongyang.
Le représentant permanent de la Chine, Zhang Yesui, a déclaré que la résolution démontrait la "ferme opposition" du monde aux ambitions nucléaires de Pyongyang et il a exhorté la Corée du Nord à mettre fin à son programme d'armement nucléaire.
"Nous exhortons fermement la République populaire démocratique de Corée à honorer ses engagements de dénucléarisation, à arrêter toute initiative qui pourrait empirer la situation et à reprendre les discussions à six", a dit Zhang en évoquant les discussions réunissant les deux Corées, le Japon, la Chine, la Russie et les Etats-Unis.
De sources diplomatiques, on s'interroge cependant sur la volonté de Pékin d'appliquer intégralement ces sanctions. La Chine a ignoré les directives contenues dans une résolution contre la Corée du Nord adoptée en octobre 2006, après le premier essai nucléaire nord-coréen.
La France a salué cette résolution et appelé "la Corée du Nord à s'abstenir de nouvelles provocations qui ne feraient qu'attiser les tensions dans la région" par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"La communauté internationale a réagi avec fermeté à ces graves provocations en renforçant de façon significative le régime de sanctions à l'encontre de la Corée du Nord", poursuit-il dans un communiqué.