Dans un précédent document, vu lundi, trois pays, Bahreïn, les Iles Marshall et Sainte-Lucie, avaient été à l’inverse barrés de cette liste noire. En janvier, huit pays avaient été ôtés de cette liste qui contenait à l’origine 17 noms lorsqu’elle avait été établie en décembre.
Après l’approbation des ministres européens des Finances, attendue mardi prochain, il devrait en rester neuf : les Bahamas, Guam, les Iles Vierges américaines, la Namibie, Palau, Saint-Kitts-et-Nevis, les Samoa, les Samoa américaines et Trinité-et-Tobago.
Les pays ôtés de la liste noire de l’UE, dans laquelle aucun pays européen n’a figuré, passent dans une liste dite “grise”.
Y apparaissent des juridictions dont la fiscalité n’est pas conforme aux normes européennes mais qui se sont engagées à y remédier.
Les experts de l’UE ont passé près d’un an à enquêter sur 92 entités, toutes hors UE, avant de publier la première liste noire de 17.
Après l’approbation des ministres européens des Finances, attendue mardi prochain, il devrait en rester neuf : les Bahamas, Guam, les Iles Vierges américaines, la Namibie, Palau, Saint-Kitts-et-Nevis, les Samoa, les Samoa américaines et Trinité-et-Tobago.
Les pays ôtés de la liste noire de l’UE, dans laquelle aucun pays européen n’a figuré, passent dans une liste dite “grise”.
Y apparaissent des juridictions dont la fiscalité n’est pas conforme aux normes européennes mais qui se sont engagées à y remédier.
Les experts de l’UE ont passé près d’un an à enquêter sur 92 entités, toutes hors UE, avant de publier la première liste noire de 17.