Le projet de gazoduc Nabucco vise à réduire la dépendance de l'Europe vis-à-vis de la Russie. Il a été signé en juillet par cinq pays : l'Autriche, la Bulgarie, la Hongrie, la Roumanie et la Turquie.
Nabucco, qui est soutenu par les Etats-Unis, prévoit la construction d'un gazoduc long de 3.300 kilomètres pour transporter jusqu'à 31 milliards de mètres cubes de gaz par an en provenance d'Asie centrale vers l'UE, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe. Son coût est estimé à 7,9 milliards d'euros.
Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de Russie.
La Roumanie a annoncé mi février son intérêt à participer également au projet concurrent de Nabucco, South Stream.
Ce gazoduc, mis en oeuvre par Gazprom et l'italien ENI, doit passer sous la mer Noire, en reliant la Russie à la Bulgarie, où il se divisera en une branche nord-ouest vers l'Autriche et une vers le sud, notamment vers la Grèce et l'Italie.
Bucarest a toutefois précisé que sa priorité restait Nabucco.
Nabucco, qui est soutenu par les Etats-Unis, prévoit la construction d'un gazoduc long de 3.300 kilomètres pour transporter jusqu'à 31 milliards de mètres cubes de gaz par an en provenance d'Asie centrale vers l'UE, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe. Son coût est estimé à 7,9 milliards d'euros.
Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de Russie.
La Roumanie a annoncé mi février son intérêt à participer également au projet concurrent de Nabucco, South Stream.
Ce gazoduc, mis en oeuvre par Gazprom et l'italien ENI, doit passer sous la mer Noire, en reliant la Russie à la Bulgarie, où il se divisera en une branche nord-ouest vers l'Autriche et une vers le sud, notamment vers la Grèce et l'Italie.
Bucarest a toutefois précisé que sa priorité restait Nabucco.