Accueil
Actus
Vers 14H10 GMT, le titre bondissait de 21,26% à 23,65 dollars. Il avait clôturé la veille sous la barre des 20 dollars, à 19,50 dollars.
L'action reste toutefois encore loin de son cours d'introduction de 38 dollars en mai, mais elle a nettement remonté depuis son plus bas de 17,55 dollars touché en septembre.
Facebook avait annoncé après la clôture du marché mardi soir des résultats supérieurs aux attentes, en dépit d'une perte nette de 59 millions de dollars.
Le groupe a indiqué avoir augmenté ses recettes publicitaires de 36% sur un an, à 1,09 milliard de dollars, et précisé que 14% d'entre elles venaient du mobile, qui était considéré jusqu'ici comme son grand point faible.
Facebook, de très loin le numéro un des réseaux sociaux avec plus de 955 millions de membres, était entré en Bourse le 18 mai en mettant sur le marché 421 millions d'actions, au cours d'une opération ayant permis de lever 16 milliards de dollars, l'une des plus grosses jamais enregistrées aux Etats-Unis.
Mais l'action n'avait cessé de chuter, perdant la moitié de sa valeur trois mois après son introduction en Bourse. Ce plongeon s'explique en bonne partie par des doutes sur la capacité du réseau social à monétiser sa base d'utilisateurs.
L'action reste toutefois encore loin de son cours d'introduction de 38 dollars en mai, mais elle a nettement remonté depuis son plus bas de 17,55 dollars touché en septembre.
Facebook avait annoncé après la clôture du marché mardi soir des résultats supérieurs aux attentes, en dépit d'une perte nette de 59 millions de dollars.
Le groupe a indiqué avoir augmenté ses recettes publicitaires de 36% sur un an, à 1,09 milliard de dollars, et précisé que 14% d'entre elles venaient du mobile, qui était considéré jusqu'ici comme son grand point faible.
Facebook, de très loin le numéro un des réseaux sociaux avec plus de 955 millions de membres, était entré en Bourse le 18 mai en mettant sur le marché 421 millions d'actions, au cours d'une opération ayant permis de lever 16 milliards de dollars, l'une des plus grosses jamais enregistrées aux Etats-Unis.
Mais l'action n'avait cessé de chuter, perdant la moitié de sa valeur trois mois après son introduction en Bourse. Ce plongeon s'explique en bonne partie par des doutes sur la capacité du réseau social à monétiser sa base d'utilisateurs.
