Le téméraire diplomate algérien, quand il s’agit bien entendu de dénigrer le Maroc, éclaire la lanterne de ses lecteurs dans cette déclaration reprise en chœurs par les sites algériens proches du pouvoir, que cette réunion entre les deux parties porterait désormais le nom de sommet «UE-UA» au lieu de «UE-Afrique».
L’ambassadeur algérien va vite en besogne et affirme que cette décision, prise à Bruxelles lors d’une récente rencontre entre fonctionnaires européens et africains, constitue un « camouflet » pour le Maroc, qui dit-il, a «longtemps manœuvré et exercé des pressions sur l’institution européenne afin d’exclure du prochain sommet” la pseudo république.
A travers une telle extrapolation, fruit de ses cellules grises entièrement mises au service de son anti-marocanisme pathologique, le diplomate algérien, veut faire admettre que le prochain sommet d’Abidjan accepterait une telle hérésie, en balayant d’un revers de main tout l’arsenal juridico-politique qui fonde le dialogue entre les deux parties, à commencer par l’Accord de partenariat de Cotonou, puis le premier sommet du Caire en avril 2000 qui a tracé les contours des relations futures UE-Afrique.
Depuis lors, toutes les réunions bilatérales se sont déroulées dans le strict respect du format du Caire et les prochaines ne dérogeront pas à cette règle.
Cette constante a d’ailleurs été rappelée au point 4 de la feuille de route du 4ème sommet UE-Afrique tenu à Bruxelles en 2014 et qui stipule que «les sommets, les réunions ministérielles (…) se poursuivront dans le cadre du format agréé pour le partenariat Afrique-UE lors du Sommet du Caire».
Autrement dit, tout changement de format, d’appellation ou autre manipulation, parallélisme des formes oblige, doivent nécessairement être fait dans le cadre d’un sommet et approuvés solennellement par les chefs d’État. Ils ne procéderaient pas de la cogitation pernicieuse d’un diplomate en perpétuel exercice de séduction vis-à-vis de ses employeurs, tout le temps en quête de dégressions pour camoufler la gabegie d’un pouvoir en déliquescence.
A cela, s’ajoute la doctrine inébranlable de l’Union européenne et de nombreux pays africains qui ne reconnaissent pas la république fantomatique et qui ne s’assoiront jamais autour de la même table avec une entité chimérique, fabriquée de toutes pièces par l’Algérie.
Dans sa logorrhée haineuse, M. Belani, “en première ligne dans la défense” d’une question dans laquelle son pays prétend éhontément la neutralité, comme le claironne un site à la botte du pouvoir à Alger, a bien évidemment consacré la moitié de sa déclaration à vociférer contre le Royaume et ses institutions, en anticipant déjà sur «une tentative de mise en échec» du prochain Sommet UE-Afrique que «le Maroc serait en train de tresser de connivence avec ses amis de l’Union européenne», alors que c’est plutôt son pays qui mobilise sa machine diplomatique et les pétrodollars qui vont avec pour faire croire à l’imposture «rasd» et torpiller tous les efforts de la communauté internationale visant à trouver une solution politique au conflit artificiel autour du sahara dans le cadre de la proposition marocaine d’autonomie.
L’ambassadeur algérien va vite en besogne et affirme que cette décision, prise à Bruxelles lors d’une récente rencontre entre fonctionnaires européens et africains, constitue un « camouflet » pour le Maroc, qui dit-il, a «longtemps manœuvré et exercé des pressions sur l’institution européenne afin d’exclure du prochain sommet” la pseudo république.
A travers une telle extrapolation, fruit de ses cellules grises entièrement mises au service de son anti-marocanisme pathologique, le diplomate algérien, veut faire admettre que le prochain sommet d’Abidjan accepterait une telle hérésie, en balayant d’un revers de main tout l’arsenal juridico-politique qui fonde le dialogue entre les deux parties, à commencer par l’Accord de partenariat de Cotonou, puis le premier sommet du Caire en avril 2000 qui a tracé les contours des relations futures UE-Afrique.
Depuis lors, toutes les réunions bilatérales se sont déroulées dans le strict respect du format du Caire et les prochaines ne dérogeront pas à cette règle.
Cette constante a d’ailleurs été rappelée au point 4 de la feuille de route du 4ème sommet UE-Afrique tenu à Bruxelles en 2014 et qui stipule que «les sommets, les réunions ministérielles (…) se poursuivront dans le cadre du format agréé pour le partenariat Afrique-UE lors du Sommet du Caire».
Autrement dit, tout changement de format, d’appellation ou autre manipulation, parallélisme des formes oblige, doivent nécessairement être fait dans le cadre d’un sommet et approuvés solennellement par les chefs d’État. Ils ne procéderaient pas de la cogitation pernicieuse d’un diplomate en perpétuel exercice de séduction vis-à-vis de ses employeurs, tout le temps en quête de dégressions pour camoufler la gabegie d’un pouvoir en déliquescence.
A cela, s’ajoute la doctrine inébranlable de l’Union européenne et de nombreux pays africains qui ne reconnaissent pas la république fantomatique et qui ne s’assoiront jamais autour de la même table avec une entité chimérique, fabriquée de toutes pièces par l’Algérie.
Dans sa logorrhée haineuse, M. Belani, “en première ligne dans la défense” d’une question dans laquelle son pays prétend éhontément la neutralité, comme le claironne un site à la botte du pouvoir à Alger, a bien évidemment consacré la moitié de sa déclaration à vociférer contre le Royaume et ses institutions, en anticipant déjà sur «une tentative de mise en échec» du prochain Sommet UE-Afrique que «le Maroc serait en train de tresser de connivence avec ses amis de l’Union européenne», alors que c’est plutôt son pays qui mobilise sa machine diplomatique et les pétrodollars qui vont avec pour faire croire à l’imposture «rasd» et torpiller tous les efforts de la communauté internationale visant à trouver une solution politique au conflit artificiel autour du sahara dans le cadre de la proposition marocaine d’autonomie.