M. Hoeness, 64 ans, a purgé la moitié (21 mois) de la peine de trois ans et demi d'emprisonnement prononcée en mars 2014. Le ministère n'a donné aucun détail sur sa libération, qui était attendue, rappelle DPA.
Il bénéficiait depuis début 2015 d'un régime de semi-liberté, qui lui permettait de ne passer que ses nuits en prison, et s'occupait depuis des équipes de jeunes du Bayern.
Figure incontournable du football allemand en tant que joueur puis dirigeant de club, il avait été reconnu coupable d'avoir omis de déclarer au fisc allemand quelque 28,5 millions d'euros de revenus boursiers en Suisse, et incarcéré à la prison de Landsberg, en Bavière (sud).
Son procès, très médiatisé, avait marqué la chute de ce dirigeant aux colères légendaires, qui a fait du Bayern Munich l'un des clubs les plus prestigieux en Europe, envié pour ses performances sportives, mais aussi pour sa gestion rigoureuse de ses finances.
"Ce n'est pas fini!", avait clamé l'étoile déchue en mai 2014 juste avant d'entamer sa peine. Il a depuis assuré qu'il s'exprimerait sur son avenir professionnel le 1er juillet, et qu'il voulait dans l'intervalle "n'être à nouveau qu'un supporteur".
Cette échéance coïncidera avec l'arrivée du nouvel entraîneur du Bayern, l'Italien Carlo Ancelotti, qui doit prendre la succession de l'Espagnol Pep Guardiola, recruté par Manchester City.
La première sortie publique de M. Hoeness devrait se tenir le 13 mars à Mönchengladbach, lorsqu'il participera à une cérémonie en l'honneur de l'ancien entraîneur Jupp Heynckes, qui avait permis aux Bavarois de décrocher le triplé (Championnat, Coupe d'Allemagne et Ligue des champions) en 2013.
Trois jours plus tard, il assistera dans les tribunes du stade de Munich au 16e de finale retour de la Ligue des champions où ses poulains affronteront la Juventus (2-2 au match aller).
En annonçant sa sortie de prison le 18 janvier, la justice allemande avait expliqué que M. Hoeness aurait pendant "une période de trois ans" obligation de mentionner auprès du service de l'exécution des peines "tout changement de domicile" et ne devrait se rendre coupable d'aucun délit.
Il bénéficiait depuis début 2015 d'un régime de semi-liberté, qui lui permettait de ne passer que ses nuits en prison, et s'occupait depuis des équipes de jeunes du Bayern.
Figure incontournable du football allemand en tant que joueur puis dirigeant de club, il avait été reconnu coupable d'avoir omis de déclarer au fisc allemand quelque 28,5 millions d'euros de revenus boursiers en Suisse, et incarcéré à la prison de Landsberg, en Bavière (sud).
Son procès, très médiatisé, avait marqué la chute de ce dirigeant aux colères légendaires, qui a fait du Bayern Munich l'un des clubs les plus prestigieux en Europe, envié pour ses performances sportives, mais aussi pour sa gestion rigoureuse de ses finances.
"Ce n'est pas fini!", avait clamé l'étoile déchue en mai 2014 juste avant d'entamer sa peine. Il a depuis assuré qu'il s'exprimerait sur son avenir professionnel le 1er juillet, et qu'il voulait dans l'intervalle "n'être à nouveau qu'un supporteur".
Cette échéance coïncidera avec l'arrivée du nouvel entraîneur du Bayern, l'Italien Carlo Ancelotti, qui doit prendre la succession de l'Espagnol Pep Guardiola, recruté par Manchester City.
La première sortie publique de M. Hoeness devrait se tenir le 13 mars à Mönchengladbach, lorsqu'il participera à une cérémonie en l'honneur de l'ancien entraîneur Jupp Heynckes, qui avait permis aux Bavarois de décrocher le triplé (Championnat, Coupe d'Allemagne et Ligue des champions) en 2013.
Trois jours plus tard, il assistera dans les tribunes du stade de Munich au 16e de finale retour de la Ligue des champions où ses poulains affronteront la Juventus (2-2 au match aller).
En annonçant sa sortie de prison le 18 janvier, la justice allemande avait expliqué que M. Hoeness aurait pendant "une période de trois ans" obligation de mentionner auprès du service de l'exécution des peines "tout changement de domicile" et ne devrait se rendre coupable d'aucun délit.