
La résolution présentée par le rapporteur de la commission, le député Mohamed Kamel Rezki, souligne que la complémentarité régionale, notamment avec les pays du Maghreb constitue "une priorité stratégique pour l'ensemble des partenaires", a indiqué un communiqué de l'APN.
Un véritable décollage économique requiert "davantage d'échanges et d'investissements, car la nouvelle dynamique commerciale appuyée par un taux de croissance élevé, constitue la condition sine qua non pour la création d'un espace économique euroméditerranéen", précise la résolution qui comprend 13 recommandations.
Intitulée "Quel partenariat euroméditerranéen dans le cadre des mutations démocratiques dans la méditerranée?", la résolution a appelé à "reconstruire les relations euroméditerraéennes sur la base de la paix, de la démocratie et du développement économique".
Elle a également appelé à revoir la politique adoptée par l'Europe avec ses voisins dans le cadre des développements survenus dans la région, à travers "la mise en place d'une politique de coopération étroite et qualitative".
Dans ce sens, les recommandations ont mis l'accent sur la nécessité d'impliquer l'Union des parlements méditerranéens, d'adapter son action pour mieux appuyer les nouveaux processus, d'œuvrer en faveur du dialogue économique et politique et l'accompagnement des mutations en cours dans la région pour les appuyer dans le cadre du respect de la souveraineté des pays.
Elles ont, enfin, appelé les gouvernements, notamment ceux du nord, à "passer à la concrétisation des projets, à mettre en oeuvre une stratégie économique forte et cohérente et à lancer des projets structurants dans les domaines de l'énergie, des transports, des PME, des affaires sociales, de l'éducation et de l'environnement notamment au profit des pays sortant d'une crise".
Un véritable décollage économique requiert "davantage d'échanges et d'investissements, car la nouvelle dynamique commerciale appuyée par un taux de croissance élevé, constitue la condition sine qua non pour la création d'un espace économique euroméditerranéen", précise la résolution qui comprend 13 recommandations.
Intitulée "Quel partenariat euroméditerranéen dans le cadre des mutations démocratiques dans la méditerranée?", la résolution a appelé à "reconstruire les relations euroméditerraéennes sur la base de la paix, de la démocratie et du développement économique".
Elle a également appelé à revoir la politique adoptée par l'Europe avec ses voisins dans le cadre des développements survenus dans la région, à travers "la mise en place d'une politique de coopération étroite et qualitative".
Dans ce sens, les recommandations ont mis l'accent sur la nécessité d'impliquer l'Union des parlements méditerranéens, d'adapter son action pour mieux appuyer les nouveaux processus, d'œuvrer en faveur du dialogue économique et politique et l'accompagnement des mutations en cours dans la région pour les appuyer dans le cadre du respect de la souveraineté des pays.
Elles ont, enfin, appelé les gouvernements, notamment ceux du nord, à "passer à la concrétisation des projets, à mettre en oeuvre une stratégie économique forte et cohérente et à lancer des projets structurants dans les domaines de l'énergie, des transports, des PME, des affaires sociales, de l'éducation et de l'environnement notamment au profit des pays sortant d'une crise".