Cela étant dit, impulsés par Sa Majesté le roi Mohammed VI, les différents projets en cours dans le royaume, en matière de développement des énergies renouvelables, conjugués à une stabilité politique, sociale et économique se démarquant dans la région, ne laissent pas indifférentes les grandes firmes internationales. C’est le cas de la compagnie allemande, dénommée « Desertec industrial initiative », qui part d’une vision globale, fondée sur l’exploitation de l’énergie solaire dans les grands espaces désertiques africains. Créée en 2009, ladite compagnie a porté son choix sur le Maroc afin de développer un projet d’envergure qui va révolutionner le monde des énergies renouvelables, en général, et de l’énergie solaire en particulier.
Du nom de « Desertec », ce projet, dont le coût global est estimé à près de 400 milliards d’euros, prévoit l’installation de panneaux photovoltaïques sur une surface de 12 kilomètres carrés. Ce qui permettra de dégager jusqu’à 1000 mégawatts. Prenant la forme d’une gigantesque ferme solaire, le projet « Desertec » prévoit de produire de l’électricité à partir de la fin de l’année 2014. Ce projet est essentiellement destiné à couvrir une grande partie des besoins en énergie de la région maghrébine, mais aussi d’en exporter vers l’Europe. Dès lors, 15% des besoins européens en électricité seraient assurés d’ici 2050.
En outre, ce projet participera à réduire considérablement la dépendance, dans l’absolu, par rapport aux énergies fossiles. Par ailleurs, il conviendra de mettre en relief le rôle, non moins important, que joue le projet « Desertec » dans la relance et le développement socio-économique, mais également en matière de préservation de l’environnement. En effet, le Maroc sera le premier à bénéficier de ses retombées financières, grâce à la création de nouveaux marchés permettant, en plus de participer au développement de nouveaux métiers, de lutter contre certaines formes de précarité. A terme, en se positionnant comme un exportateur d’énergie, le royaume bénéficiera d’importants avantages économiques et financiers, contribuant à son rayonnement, tant sur le plan régional qu’international.
In fine, le projet « Desertec » participe d’une véritable politique volontariste menée par les autorités publiques afin d’une part, de réduire la dépendance énergétique du Maroc vis-à-vis des fournisseurs étrangers en énergies fossiles, et donc de gagner à long terme en autonomie énergétique ; et d’autre part, il s’agit pour le Maroc de s’aligner sur les pratiques et les normes en vigueur chez ses principaux partenaires économiques, en termes de développement durable et de protection de l’environnement.
Du nom de « Desertec », ce projet, dont le coût global est estimé à près de 400 milliards d’euros, prévoit l’installation de panneaux photovoltaïques sur une surface de 12 kilomètres carrés. Ce qui permettra de dégager jusqu’à 1000 mégawatts. Prenant la forme d’une gigantesque ferme solaire, le projet « Desertec » prévoit de produire de l’électricité à partir de la fin de l’année 2014. Ce projet est essentiellement destiné à couvrir une grande partie des besoins en énergie de la région maghrébine, mais aussi d’en exporter vers l’Europe. Dès lors, 15% des besoins européens en électricité seraient assurés d’ici 2050.
En outre, ce projet participera à réduire considérablement la dépendance, dans l’absolu, par rapport aux énergies fossiles. Par ailleurs, il conviendra de mettre en relief le rôle, non moins important, que joue le projet « Desertec » dans la relance et le développement socio-économique, mais également en matière de préservation de l’environnement. En effet, le Maroc sera le premier à bénéficier de ses retombées financières, grâce à la création de nouveaux marchés permettant, en plus de participer au développement de nouveaux métiers, de lutter contre certaines formes de précarité. A terme, en se positionnant comme un exportateur d’énergie, le royaume bénéficiera d’importants avantages économiques et financiers, contribuant à son rayonnement, tant sur le plan régional qu’international.
In fine, le projet « Desertec » participe d’une véritable politique volontariste menée par les autorités publiques afin d’une part, de réduire la dépendance énergétique du Maroc vis-à-vis des fournisseurs étrangers en énergies fossiles, et donc de gagner à long terme en autonomie énergétique ; et d’autre part, il s’agit pour le Maroc de s’aligner sur les pratiques et les normes en vigueur chez ses principaux partenaires économiques, en termes de développement durable et de protection de l’environnement.