C’est ce qui ressort d’un communiqué rendu public, dimanche après-midi, par le Conseil présidentiel du gouvernement de consensus national, et dont Anadolu a eu copie.
« Compte tenu de la gravité de la situation actuelle, et pour des raisons d’intérêt public, le Conseil décrète l’état d’urgence sécuritaire dans la capitale Tripoli et ses environs », lit-on dans le communiqué.
Le Conseil a indiqué que cette mesure vise à « protéger les civils, les biens publics et privés ainsi que les installations et institutions névralgiques », ajoute le communiqué.
« Une commission d’exécution des arrangements sécuritaires contenus dans l’accord politique, concernant la capitale et les autres villes, a été formée », conclut le communiqué.
La capitale libyenne est le théâtre, depuis une semaine environ, d’affrontements aux armes lourdes et moyennes, entre des phalanges armées qui relèvent nominativement du gouvernement de « consensus national » reconnu au plan international, sur fond de concurrence au sujet des points de positionnement à Tripoli.
En dépit de la conclusion d’une trêve, vendredi, entre ces phalanges, selon l’annonce du ministre de l’Intérieur du gouvernement de consensus, cette trêve n’a pas résisté que quelques heures, dès lors que les affrontements ont repris samedi.
« Compte tenu de la gravité de la situation actuelle, et pour des raisons d’intérêt public, le Conseil décrète l’état d’urgence sécuritaire dans la capitale Tripoli et ses environs », lit-on dans le communiqué.
Le Conseil a indiqué que cette mesure vise à « protéger les civils, les biens publics et privés ainsi que les installations et institutions névralgiques », ajoute le communiqué.
« Une commission d’exécution des arrangements sécuritaires contenus dans l’accord politique, concernant la capitale et les autres villes, a été formée », conclut le communiqué.
La capitale libyenne est le théâtre, depuis une semaine environ, d’affrontements aux armes lourdes et moyennes, entre des phalanges armées qui relèvent nominativement du gouvernement de « consensus national » reconnu au plan international, sur fond de concurrence au sujet des points de positionnement à Tripoli.
En dépit de la conclusion d’une trêve, vendredi, entre ces phalanges, selon l’annonce du ministre de l’Intérieur du gouvernement de consensus, cette trêve n’a pas résisté que quelques heures, dès lors que les affrontements ont repris samedi.