Le Parquet national financier (PNF) avait demandé en mai leur renvoi devant un tribunal correctionnel. Les juges d’instruction chargés de l’affaire ont signé l’ordonnance de renvoi le 19 juin, précise-t-on de même source.
Lamine Diack et son fils, homme d’affaires et consultant en marketing de l’IAAF au moment des faits, sont accusés d’avoir retardé contre paiement la sanction d’athlètes soupçonnés de dopage, notamment russes, avec la complicité active de dirigeants de l’athlétisme russe.
Sont ainsi renvoyés avec eux en correctionnelle l’ancien trésorier de l’IAAF et ex-président de la Fédération russe d’athlétisme (ARAF) Valentin Balakhnitchev et l’ex-entraîneur de l’équipe russe d’athlétisme Alexeï Melnikov, tous deux en fuite.
L’avocat français Habib Cissé, conseiller juridique de Lamine Diack, et le médecin français Gabriel Dollé, responsable du département antidopage de l’IAAF au moment des faits, seront également jugés dans cette affaire pour corruption.
Cette affaire n’est qu’un volet du système de corruption et de blanchiment que Lamine Diack et son fils sont soupçonnés d’avoir mis en place en profitant de la position du premier à la tête de l’IAAF et au sein du Comité international olympique.
Lamine Diack et son fils, homme d’affaires et consultant en marketing de l’IAAF au moment des faits, sont accusés d’avoir retardé contre paiement la sanction d’athlètes soupçonnés de dopage, notamment russes, avec la complicité active de dirigeants de l’athlétisme russe.
Sont ainsi renvoyés avec eux en correctionnelle l’ancien trésorier de l’IAAF et ex-président de la Fédération russe d’athlétisme (ARAF) Valentin Balakhnitchev et l’ex-entraîneur de l’équipe russe d’athlétisme Alexeï Melnikov, tous deux en fuite.
L’avocat français Habib Cissé, conseiller juridique de Lamine Diack, et le médecin français Gabriel Dollé, responsable du département antidopage de l’IAAF au moment des faits, seront également jugés dans cette affaire pour corruption.
Cette affaire n’est qu’un volet du système de corruption et de blanchiment que Lamine Diack et son fils sont soupçonnés d’avoir mis en place en profitant de la position du premier à la tête de l’IAAF et au sein du Comité international olympique.