L’héritier de l’empire Samsung, à la tête de facto de l’un des plus puissants conglomérats asiatiques, a été condamné vendredi pour des faits de corruption et de détournement de fonds dans le cadre d’un vaste scandale qui a ébranlé le pays.
Le ministère public avait requis 12 ans de prison à son encontre.
Jay Y. Lee, âgé de 49 ans, était notamment accusé d’avoir promis 43 milliards de wons (35 millions d’euros) à une entreprise et des fondations créées par Choi Soon-sil, amie et confidente de Park Geun-hye, en échange de l’appui de la caisse publique des retraites à un projet de fusion de deux filiales de Samsung en 2015.
Il lui était aussi reproché le transfert non justifié d’actifs à l’étranger et le recel de gains illégaux.
Jay Y. Lee, qui a nié toute malversation, est en détention depuis février.
Contactée par Reuters, une porte-parole de Samsung a dit n’avoir aucun commentaire à formuler dans l’immédiat.
Le ministère public avait requis 12 ans de prison à son encontre.
Jay Y. Lee, âgé de 49 ans, était notamment accusé d’avoir promis 43 milliards de wons (35 millions d’euros) à une entreprise et des fondations créées par Choi Soon-sil, amie et confidente de Park Geun-hye, en échange de l’appui de la caisse publique des retraites à un projet de fusion de deux filiales de Samsung en 2015.
Il lui était aussi reproché le transfert non justifié d’actifs à l’étranger et le recel de gains illégaux.
Jay Y. Lee, qui a nié toute malversation, est en détention depuis février.
Contactée par Reuters, une porte-parole de Samsung a dit n’avoir aucun commentaire à formuler dans l’immédiat.