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Après avoir testé l'objet, il faut se rendre à l'évidence: surfer sur Internet avec ses doigts, consulter ses e-mails, regarder des photos et des vidéos et même jouer en pilotant par exemple une voiture de course en tenant l'iPad comme un volant, devient encore plus ludique et confortable, d'autant que l'écran est extrêmement lumineux.
L'iPad est incroyablement rapide : les commandes sont instantanées, aussi vives qu'avec un ordinateur fixe, mais sans ventilateur ni chaleur. Ses batteries sont surpuissantes : les 10 heures d'autonomie promises sont bien là.
A mi-chemin entre le smartphone et l'ordinateur portable, l'iPad ne sera en vente en Europe que fin avril autour de 500 euros, après un lancement retentissant aux Etats-Unis (450.000 exemplaires les cinq premiers jours).
Attention, toutefois : l'iPad n'est pas un téléphone, sauf en passant par l'une des applications permettant la voix sur Internet comme Skype ou iPPi.
L'iPad n'est pas autonome : il a été pensé comme le satellite d'un ordinateur principal et une connexion Wi-Fi est indispensable. Une version 3G sera aussi proposée.
La tablette d'Apple est faite avant tout pour la maison en proposant des postures et gestuelles nouvelles : comme un magazine que l'on tient à la main mais en version électronique, le tout confortablement installé dans un canapé ou dans un lit. On peut aussi l'utiliser en avion ou dans un train.
Dès le déballage, le message est clair : aucun mode d'emploi. Après quelques minutes pourtant, la majorité des utilisateurs auront la machine en main grâce à la simplicité du système d'exploitation de l'iPhone dont il s'inspire complètement.
Les fonctions correspondent à des icônes et des mini-programmes, se téléchargent facilement depuis le magasin en ligne iTunes d'Apple avec quelque 150.000 applications différentes à ce jour, dont près de la moitié sont gratuites.
Quel que soit le sens dans lequel on tient l'iPad, l'image bascule instantanément dans la bonne position. Idéal pour lire un livre ou un magazine: Paris Match est le premier magazine français à proposer une édition pour l'iPad. Le Monde et Le Figaro aussi se sont mis à la page. Libération et d'autres suivront.
L'expérience est bluffante : on peut réellement feuilleter les pages, grossir les caractères, mais aussi déclencher des vidéos ou des sons : une lecture inédite et enrichie qui pourrait bien relancer l'intérêt pour la presse écrite.
En mode album de famille, la tablette d'Apple a de la ressource et des idées: on peut agrandir les photos en les touchant. Une fonction cadre numérique est aussi proposée.
Premier ordinateur sans clavier destiné au grand public, l'iPad permet toutefois de saisir des textes avec un clavier virtuel agréable qui remplit une partie de l'écran.
Des regrets ? L'absence d'une caméra pour des échanges vidéo et un poids de 700 grammes, un peu élevé sur la durée. Pour transférer directement des photos, il faut acheter en option un port USB. Le fait que Apple ne l'ait pas intégré fait grincer des dents.
L'iPad est incroyablement rapide : les commandes sont instantanées, aussi vives qu'avec un ordinateur fixe, mais sans ventilateur ni chaleur. Ses batteries sont surpuissantes : les 10 heures d'autonomie promises sont bien là.
A mi-chemin entre le smartphone et l'ordinateur portable, l'iPad ne sera en vente en Europe que fin avril autour de 500 euros, après un lancement retentissant aux Etats-Unis (450.000 exemplaires les cinq premiers jours).
Attention, toutefois : l'iPad n'est pas un téléphone, sauf en passant par l'une des applications permettant la voix sur Internet comme Skype ou iPPi.
L'iPad n'est pas autonome : il a été pensé comme le satellite d'un ordinateur principal et une connexion Wi-Fi est indispensable. Une version 3G sera aussi proposée.
La tablette d'Apple est faite avant tout pour la maison en proposant des postures et gestuelles nouvelles : comme un magazine que l'on tient à la main mais en version électronique, le tout confortablement installé dans un canapé ou dans un lit. On peut aussi l'utiliser en avion ou dans un train.
Dès le déballage, le message est clair : aucun mode d'emploi. Après quelques minutes pourtant, la majorité des utilisateurs auront la machine en main grâce à la simplicité du système d'exploitation de l'iPhone dont il s'inspire complètement.
Les fonctions correspondent à des icônes et des mini-programmes, se téléchargent facilement depuis le magasin en ligne iTunes d'Apple avec quelque 150.000 applications différentes à ce jour, dont près de la moitié sont gratuites.
Quel que soit le sens dans lequel on tient l'iPad, l'image bascule instantanément dans la bonne position. Idéal pour lire un livre ou un magazine: Paris Match est le premier magazine français à proposer une édition pour l'iPad. Le Monde et Le Figaro aussi se sont mis à la page. Libération et d'autres suivront.
L'expérience est bluffante : on peut réellement feuilleter les pages, grossir les caractères, mais aussi déclencher des vidéos ou des sons : une lecture inédite et enrichie qui pourrait bien relancer l'intérêt pour la presse écrite.
En mode album de famille, la tablette d'Apple a de la ressource et des idées: on peut agrandir les photos en les touchant. Une fonction cadre numérique est aussi proposée.
Premier ordinateur sans clavier destiné au grand public, l'iPad permet toutefois de saisir des textes avec un clavier virtuel agréable qui remplit une partie de l'écran.
Des regrets ? L'absence d'une caméra pour des échanges vidéo et un poids de 700 grammes, un peu élevé sur la durée. Pour transférer directement des photos, il faut acheter en option un port USB. Le fait que Apple ne l'ait pas intégré fait grincer des dents.
