Ces trois "escales musicales" sont organisées dans le cadre de la manifestation culturelle Lille 3000, qui a choisi pour thème l'"Europe XXL".
Du 6 au 9 mai, la scène de l'opéra sera envahie par les Derviches tourneurs, une troupe de quelque 35 chanteurs, danseurs et musiciens alternant rituels sacrés d'une confrérie soufie et improvisations libres.
En clôture de cet épisode stambouliote, le 9 mai verra alterner tout l'après-midi des concerts de compositeurs modernes turcs (Tolga Tuzün, Zeynep Gedizlioglu et Alper Maral) avec ceux de l'orchestre de Sema, "dame à la voix de vinyle" qui ressuscitera les vieilles chansons des salons d'Istanbul du début du 20e siècle et organisera un atelier de chant public.
Le tout sera assaisonné de cinéma ("Une journée à Istanbul" de Necati Sönmez et Emel Celebi) et d'une installation artistique d'Ahmet Ogut.
Prague, capitale du quatuor à cordes, envoie à Lille deux des plus représentatifs, Prazak et Talich, qui se succéderont pour défendre le répertoire tchèque (Dvorak, Martinu, Smetana, Kalivoda, Schulhoff, Janacek) les 15 et 16 mai avant un concert commun le 17.
Le compositeur Ligeti, mort en 2006, a fait beaucoup pour combler le fossé entre les attentes du public et la musique moderne, comme en témoignent ses musiques pour plusieurs films de Stanley Kubrick dont "2001, l'odyssée de l'espace".
Le 20 mai, l'opéra lui consacrera un "labyrinthe" de 18H00 à 24H00 avec concerts de l'ensemble belge en résidence Ictus et des jeunes interprètes de la Chapelle musicale reine Eisabeth de Bruxelles, entrecoupés de conférences et bars récréatifs.
L'opéra de Lille qui a déjà illustré le mois dernier "l'Europe XXL" avec "Grandeur et décadence de la ville de Mahoganny" de Kurt Weill, poursuivra les 6-7-9-10 juin avec "La petite renarde rusée" de Leos Janacek dans une nouvelle adaptation de Alexander Kramp.
Du 6 au 9 mai, la scène de l'opéra sera envahie par les Derviches tourneurs, une troupe de quelque 35 chanteurs, danseurs et musiciens alternant rituels sacrés d'une confrérie soufie et improvisations libres.
En clôture de cet épisode stambouliote, le 9 mai verra alterner tout l'après-midi des concerts de compositeurs modernes turcs (Tolga Tuzün, Zeynep Gedizlioglu et Alper Maral) avec ceux de l'orchestre de Sema, "dame à la voix de vinyle" qui ressuscitera les vieilles chansons des salons d'Istanbul du début du 20e siècle et organisera un atelier de chant public.
Le tout sera assaisonné de cinéma ("Une journée à Istanbul" de Necati Sönmez et Emel Celebi) et d'une installation artistique d'Ahmet Ogut.
Prague, capitale du quatuor à cordes, envoie à Lille deux des plus représentatifs, Prazak et Talich, qui se succéderont pour défendre le répertoire tchèque (Dvorak, Martinu, Smetana, Kalivoda, Schulhoff, Janacek) les 15 et 16 mai avant un concert commun le 17.
Le compositeur Ligeti, mort en 2006, a fait beaucoup pour combler le fossé entre les attentes du public et la musique moderne, comme en témoignent ses musiques pour plusieurs films de Stanley Kubrick dont "2001, l'odyssée de l'espace".
Le 20 mai, l'opéra lui consacrera un "labyrinthe" de 18H00 à 24H00 avec concerts de l'ensemble belge en résidence Ictus et des jeunes interprètes de la Chapelle musicale reine Eisabeth de Bruxelles, entrecoupés de conférences et bars récréatifs.
L'opéra de Lille qui a déjà illustré le mois dernier "l'Europe XXL" avec "Grandeur et décadence de la ville de Mahoganny" de Kurt Weill, poursuivra les 6-7-9-10 juin avec "La petite renarde rusée" de Leos Janacek dans une nouvelle adaptation de Alexander Kramp.