L'indice CAC 40 a pris 35,22 points à 4.426,72 points, dans un volume d'échanges limité de 3,1 milliards d'euros. La veille, il avait perdu 0,45%.
Le marché parisien a passé la journée dans le vert, parvenant même à grimper dans l'après-midi à 4.440,04 points, un nouveau record en séance depuis septembre 2008, signé en pleine passation de pouvoir entre Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls.
Il a ainsi dépassé son précédent sommet annuel qui datait de début mars et marquait déjà un pic depuis début septembre 2008, soit avant la faillite de Lehman Brothers.
"Les volumes ne sont pas énormes, mais sur le fond les indices boursiers bénéficient du fait que les marchés actions sont encore à acheter parce qu'il n'y a pas vraiment d'alternative", explique Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse.
Le marché parisien, qui a digéré les incertitudes autour de la situation en Ukraine, profite d'indicateurs de bonne facture et de la politique toujours favorable des banques centrales.
"Les indices PMI en zone euro et une Yellen accommodante tirent vers le haut les marchés européens", résume Ishaq Siddiqi, analyste chez ETX Capital.
En zone euro, le secteur manufacturier a confirmé sa croissance en mars pour le neuvième mois consécutif, tandis qu'en France il a renoué avec la croissance pour la première fois depuis juin 2011.
"Le marché se raccroche aux fondamentaux avec la publication des PMI en Europe. Il y a toujours cette thématique du retour de la confiance sur la zone euro qui est joué", selon le gérant.
Par ailleurs, la patronne de la Réserve fédérale américaine (Fed) Janet Yellen a indiqué lundi que le soutien exceptionnel de la banque centrale à l'économie était "encore nécessaire" et le serait encore "pendant un certain temps".
Enfin, la désignation de Manuel Valls comme Premier ministre n'a eu aucune influence sur la tendance, selon M. Murail.
Néanmoins, "la nomination de Valls est plutôt appréciée par les marchés, qui estiment qu'il va s'engager à réduire les déficits", selon lui.
Parmi les valeurs, Alstom a bondi en tête du CAC 40 (+8,12% à 21,43 euros), dynamisé par la cession de ses activités de fabrication d'échangeurs de chaleur en Allemagne au fonds allemand Triton Partners pour environ 730 millions d'euros.
Les valeurs bancaires ont été particulièrement recherchées, à l'image de BNP Paribas (+2,70% à 57,50 euros), Crédit Agricole (+4,11% à 11,92 euros) et Société Générale (+4,400% à 46,67 euros).
De même, les valeurs dépendantes de la conjoncture ont progressé, avec Saint-Gobain (+3,44% à 45,36 euros) et Alcatel-Lucent (+2,66% à 2,94 euros).
Enfin, EDF a profité (+2,99% à 29,58 euros) d'une note favorable de Morgan Stanley.
Le marché parisien a passé la journée dans le vert, parvenant même à grimper dans l'après-midi à 4.440,04 points, un nouveau record en séance depuis septembre 2008, signé en pleine passation de pouvoir entre Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls.
Il a ainsi dépassé son précédent sommet annuel qui datait de début mars et marquait déjà un pic depuis début septembre 2008, soit avant la faillite de Lehman Brothers.
"Les volumes ne sont pas énormes, mais sur le fond les indices boursiers bénéficient du fait que les marchés actions sont encore à acheter parce qu'il n'y a pas vraiment d'alternative", explique Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse.
Le marché parisien, qui a digéré les incertitudes autour de la situation en Ukraine, profite d'indicateurs de bonne facture et de la politique toujours favorable des banques centrales.
"Les indices PMI en zone euro et une Yellen accommodante tirent vers le haut les marchés européens", résume Ishaq Siddiqi, analyste chez ETX Capital.
En zone euro, le secteur manufacturier a confirmé sa croissance en mars pour le neuvième mois consécutif, tandis qu'en France il a renoué avec la croissance pour la première fois depuis juin 2011.
"Le marché se raccroche aux fondamentaux avec la publication des PMI en Europe. Il y a toujours cette thématique du retour de la confiance sur la zone euro qui est joué", selon le gérant.
Par ailleurs, la patronne de la Réserve fédérale américaine (Fed) Janet Yellen a indiqué lundi que le soutien exceptionnel de la banque centrale à l'économie était "encore nécessaire" et le serait encore "pendant un certain temps".
Enfin, la désignation de Manuel Valls comme Premier ministre n'a eu aucune influence sur la tendance, selon M. Murail.
Néanmoins, "la nomination de Valls est plutôt appréciée par les marchés, qui estiment qu'il va s'engager à réduire les déficits", selon lui.
Parmi les valeurs, Alstom a bondi en tête du CAC 40 (+8,12% à 21,43 euros), dynamisé par la cession de ses activités de fabrication d'échangeurs de chaleur en Allemagne au fonds allemand Triton Partners pour environ 730 millions d'euros.
Les valeurs bancaires ont été particulièrement recherchées, à l'image de BNP Paribas (+2,70% à 57,50 euros), Crédit Agricole (+4,11% à 11,92 euros) et Société Générale (+4,400% à 46,67 euros).
De même, les valeurs dépendantes de la conjoncture ont progressé, avec Saint-Gobain (+3,44% à 45,36 euros) et Alcatel-Lucent (+2,66% à 2,94 euros).
Enfin, EDF a profité (+2,99% à 29,58 euros) d'une note favorable de Morgan Stanley.