Son produit intérieur brut a régulièrement progressé toute l'année, pour terminer sur une hausse à deux chiffres au quatrième trimestre, de 10,7%, selon les chiffres révisés du BNS.
"L'année 2009 a été la plus difficile du nouveau siècle pour le développement économique de la Chine", a souligné Ma Jiantang, responsable du BNS, en dévoilant les chiffres à la presse.
En 2010, grâce à la lente reprise de l'économie mondiale, "l'environnement sera meilleur", a-t-il ajouté, soulignant notamment que cela jouerait sur le commerce extérieur chinois, plombé à partir de fin 2008 par la baisse de la demande étrangère.
Une composante de ce retour à une forte croissance a été les investissements en capitaux fixes, encouragés par le grand plan de relance du gouvernement, annoncé à l'automne 2008 alors que la Chine était frappée de plein fouet par la crise économique mondiale.
Dans les zones urbaines, ces investissements ont bondi de 30,5% (en hausse de 4,4 points de pourcentage par rapport à 2008).
"Ces statistiques suggèrent que la reprise s'enracine plus fortement", a commenté Jing Ulrich de JP Morgan, en soulignant que les récentes statistiques des Douanes avaient montré "une nette amélioration des exportations".
Celles-ci ont progressé de 17,7% en glissement annuel en décembre, "premier mois de croissance positive en glissement annuel depuis octobre 2008", a ajouté Jing Ulrich.
"L'économie croît fermement et c'est ce que souhaite la Chine. Néanmoins, ils vont ajuster les mesures pour s'assurer que l'économie ne croisse pas trop vite", a de son côté estimé Patrick Bennet de la Société Générale à Hong Kong.
Des économistes craignent que la Chine ne retrouve le chemin de la surchauffe.
"L'année 2009 a été la plus difficile du nouveau siècle pour le développement économique de la Chine", a souligné Ma Jiantang, responsable du BNS, en dévoilant les chiffres à la presse.
En 2010, grâce à la lente reprise de l'économie mondiale, "l'environnement sera meilleur", a-t-il ajouté, soulignant notamment que cela jouerait sur le commerce extérieur chinois, plombé à partir de fin 2008 par la baisse de la demande étrangère.
Une composante de ce retour à une forte croissance a été les investissements en capitaux fixes, encouragés par le grand plan de relance du gouvernement, annoncé à l'automne 2008 alors que la Chine était frappée de plein fouet par la crise économique mondiale.
Dans les zones urbaines, ces investissements ont bondi de 30,5% (en hausse de 4,4 points de pourcentage par rapport à 2008).
"Ces statistiques suggèrent que la reprise s'enracine plus fortement", a commenté Jing Ulrich de JP Morgan, en soulignant que les récentes statistiques des Douanes avaient montré "une nette amélioration des exportations".
Celles-ci ont progressé de 17,7% en glissement annuel en décembre, "premier mois de croissance positive en glissement annuel depuis octobre 2008", a ajouté Jing Ulrich.
"L'économie croît fermement et c'est ce que souhaite la Chine. Néanmoins, ils vont ajuster les mesures pour s'assurer que l'économie ne croisse pas trop vite", a de son côté estimé Patrick Bennet de la Société Générale à Hong Kong.
Des économistes craignent que la Chine ne retrouve le chemin de la surchauffe.