Marie Dedieu
"Les contacts à travers lesquels le gouvernement français cherchait à obtenir la libération de Marie Dedieu, retenue en Somalie depuis le 1er octobre, nous ont annoncé son décès sans que nous puissions en préciser la date, ni les circonstances", explique le Quai d'Orsay dans son communiqué.
Marie Dedieu, 66 ans, avait été attaquée le 1er octobre chez elle sur l'île de Manda, en face de l'île touristique de Lamu, sur la cô te nord-est du Kenya, avant l'aube, par des hommes armés. Ils avaient réussi à gagner la Somalie voisine en bateau avec leur captive alors qu'ils étaient poursuivis par les forces de sécurité.
"L'état de santé de Mme Dedieu, l'incertitude sur les conditions de sa détention, le fait que les ravisseurs aient probablement refusé de lui remettre les médicaments que nous lui avons envoyés, nous conduisent à craindre que cette issue tragique soit malheureusement la plus vraisemblable", souligne le Quai d'Orsay, qui a prévenu ses proches.
"Le gouvernement français exprime sa profonde émotion, sa grande tristesse et sa solidarité avec la famille et les proches de Marie Dedieu" et "exprime aussi son indignation devant l'absence totale d'humanité et la cruauté dont ont fait preuve les ravisseurs de notre compatriote dont nous voulons qu'ils soient identifiés et traduits devant la justice", ajoute le communiqué. "Nous demandons la restitution sans délai et sans conditions de la dépouille mortelle de notre compatriote", conclut le ministère des Affaires étrangères.
Marie Dedieu, 66 ans, avait été attaquée le 1er octobre chez elle sur l'île de Manda, en face de l'île touristique de Lamu, sur la cô te nord-est du Kenya, avant l'aube, par des hommes armés. Ils avaient réussi à gagner la Somalie voisine en bateau avec leur captive alors qu'ils étaient poursuivis par les forces de sécurité.
"L'état de santé de Mme Dedieu, l'incertitude sur les conditions de sa détention, le fait que les ravisseurs aient probablement refusé de lui remettre les médicaments que nous lui avons envoyés, nous conduisent à craindre que cette issue tragique soit malheureusement la plus vraisemblable", souligne le Quai d'Orsay, qui a prévenu ses proches.
"Le gouvernement français exprime sa profonde émotion, sa grande tristesse et sa solidarité avec la famille et les proches de Marie Dedieu" et "exprime aussi son indignation devant l'absence totale d'humanité et la cruauté dont ont fait preuve les ravisseurs de notre compatriote dont nous voulons qu'ils soient identifiés et traduits devant la justice", ajoute le communiqué. "Nous demandons la restitution sans délai et sans conditions de la dépouille mortelle de notre compatriote", conclut le ministère des Affaires étrangères.