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Le pays compte 80 cas confirmés de la maladie, qui touche 28.500 personnes au niveau mondial, a précisé la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, lors d'une conférence de presse commune avec Michèle Alliot-Marie au ministère de l'Intérieur.
L'Organisation mondiale de la santé a relevé jeudi à 6, le niveau maximal, son niveau d'alerte face à l'extension de la pandémie, qui concerne 170 pays.
Des experts réunis mercredi soir au ministère de la Santé "m'ont confirmé que la situation dans notre pays n'impliquait absolument pas, à ce stade constaté de l'épidémie, un passage ni au niveau 6 ni même au niveau 5B", a dit Roselyne Bachelot.
"Nous n'avons pas à ce jour, même si la situation peut évoluer rapidement, de circulation active du virus au sein de la population et aucune forme grave n'a été signalée", a-t-elle ajouté.
Pour Michèle Alliot-Marie, la situation actuelle en France ne justifie pas de prendre "des mesures draconiennes".
"Si on devait passer en phase 5B, la phase supérieure au niveau actuel, cela entraînerait des conséquences très lourdes en matière de restriction de la circulation" notamment, a-t-elle expliqué. "Ce sont des mesures qui seraient disproportionnées par rapport à la situation telle qu'elle est aujourd'hui".
Les mesures prises depuis un mois et demi "ont permis visiblement de limiter la diffusion du virus sur notre territoire", a précisé la ministre de l'Intérieur.
Une nouvelle réunion interministérielle sur l'épidémie est prévue en milieu de semaine prochaine.
L'Organisation mondiale de la santé a relevé jeudi à 6, le niveau maximal, son niveau d'alerte face à l'extension de la pandémie, qui concerne 170 pays.
Des experts réunis mercredi soir au ministère de la Santé "m'ont confirmé que la situation dans notre pays n'impliquait absolument pas, à ce stade constaté de l'épidémie, un passage ni au niveau 6 ni même au niveau 5B", a dit Roselyne Bachelot.
"Nous n'avons pas à ce jour, même si la situation peut évoluer rapidement, de circulation active du virus au sein de la population et aucune forme grave n'a été signalée", a-t-elle ajouté.
Pour Michèle Alliot-Marie, la situation actuelle en France ne justifie pas de prendre "des mesures draconiennes".
"Si on devait passer en phase 5B, la phase supérieure au niveau actuel, cela entraînerait des conséquences très lourdes en matière de restriction de la circulation" notamment, a-t-elle expliqué. "Ce sont des mesures qui seraient disproportionnées par rapport à la situation telle qu'elle est aujourd'hui".
Les mesures prises depuis un mois et demi "ont permis visiblement de limiter la diffusion du virus sur notre territoire", a précisé la ministre de l'Intérieur.
Une nouvelle réunion interministérielle sur l'épidémie est prévue en milieu de semaine prochaine.
