Aucun bilan n'était immédiatement disponible sur les pertes d'Aqmi et "l'armée malienne n'a pas participé à l'attaque proprement dite", qui s'est déroulée dans la zone de la forêt du Wagadou (ouest du Mali), près de la frontière mauritanienne, a précisé cette source jointe depuis Nouakchott dans la nuit de vendredi à samedi.
Des moyens aériens ont été utilisés lors de cet assaut qui "a eu lieu vers 17H45 (locales et GMT)". Le campement d'Aqmi "a été entièrement détruit" mais les "terroristes" ont riposté avec "un armement lourd", a-t-elle affirmé.
Selon elle, quatre militaires mauritaniens ont été blessés, dont deux grièvement lors de l'assaut.
"Le bilan définitif cô té ennemi ne sera fait qu'à la levée du jour samedi matin, mais il doit être important. (...) Les tentes du campement et trois véhicules ont été détruits au sol avec leurs occupants" dont le nombre n'est pas encore déterminé, a-t-elle expliqué.
"De fortes déflagrations ont été entendues sur un rayon de 20 km, probablement celles de munitions de haut calibre stockées dans le campement", a encore dit la source militaire.
Plusieurs sources militaires avaient affirmé récemment à un journaliste de l'AFP basé à Bamako qu'Aqmi tentait actuellement d'installer une nouvelle base dans la forêt du Wagadou.
Selon la source militaire mauritanienne jointe depuis Nouakchott, le mouvement des hommes d'Aqmi avait "été suivi et leur lieu d'implantation localisé avant l'attaque" de vendredi après-midi. "Actuellement, nous contrô lons la situation, la zone est entièrement sécurisée", a-t-elle assuré.
Des centaines de militaires maliens et mauritaniens mènent depuis le 21 juin et "pour quelques semaines" des opérations communes le long de leur frontière contre Aqmi et la criminalités organisée, d'après des sources émanant des deux armées. D'après des témoins joints par l'AFP depuis Bamako, des hélicoptères participent à ces opérations.
Le Mali et la Mauritanie sont parmi les pays les plus concernés par les activités d'Aqmi, avec le Niger et l'Algérie, où cette organisation est née et se livre dans le Sahel à des attentats, des enlèvements et divers trafics.
Des moyens aériens ont été utilisés lors de cet assaut qui "a eu lieu vers 17H45 (locales et GMT)". Le campement d'Aqmi "a été entièrement détruit" mais les "terroristes" ont riposté avec "un armement lourd", a-t-elle affirmé.
Selon elle, quatre militaires mauritaniens ont été blessés, dont deux grièvement lors de l'assaut.
"Le bilan définitif cô té ennemi ne sera fait qu'à la levée du jour samedi matin, mais il doit être important. (...) Les tentes du campement et trois véhicules ont été détruits au sol avec leurs occupants" dont le nombre n'est pas encore déterminé, a-t-elle expliqué.
"De fortes déflagrations ont été entendues sur un rayon de 20 km, probablement celles de munitions de haut calibre stockées dans le campement", a encore dit la source militaire.
Plusieurs sources militaires avaient affirmé récemment à un journaliste de l'AFP basé à Bamako qu'Aqmi tentait actuellement d'installer une nouvelle base dans la forêt du Wagadou.
Selon la source militaire mauritanienne jointe depuis Nouakchott, le mouvement des hommes d'Aqmi avait "été suivi et leur lieu d'implantation localisé avant l'attaque" de vendredi après-midi. "Actuellement, nous contrô lons la situation, la zone est entièrement sécurisée", a-t-elle assuré.
Des centaines de militaires maliens et mauritaniens mènent depuis le 21 juin et "pour quelques semaines" des opérations communes le long de leur frontière contre Aqmi et la criminalités organisée, d'après des sources émanant des deux armées. D'après des témoins joints par l'AFP depuis Bamako, des hélicoptères participent à ces opérations.
Le Mali et la Mauritanie sont parmi les pays les plus concernés par les activités d'Aqmi, avec le Niger et l'Algérie, où cette organisation est née et se livre dans le Sahel à des attentats, des enlèvements et divers trafics.