TESS a quitté Cap Canaveral à 23h51 GMT, conformément à l’horaire prévu, pour entamer une mission de deux ans.
L’engin vise à poursuivre l’oeuvre engagée par son prédécesseur, le télescope spatial Kepler, qui a repéré la majeure partie des 3.500 exoplanètes répertoriées depuis les toutes premières découvertes en 1995.
La Nasa attend de TESS qu’il détecte des milliers d’autres exoplanètes, dont peut-être des centaines ayant une taille voisine de la Terre, ou en tout cas pas plus de deux fois celle de notre planète.
De telles planètes passent pour avoir les plus grandes chances de disposer de surfaces telluriques ou d’océans, par opposition avec les géantes gazeuses comme Jupiter ou Neptune.
Il faudra au nouveau télescope autour de 60 jours pour atteindre son orbite fortement elliptique, qui verra TESS osciller entre la Terre et la Lune.
Kepler est tombé en panne en 2013, après quatre ans d’activité, connaissant alors un dysfonctionnement d’un mécanisme qui lui permettait de pointer dans une direction donnée de la voûte céleste. Et même si les scientifiques ont trouvé moyen de le maintenir en activité, il est presque à court de combustible.
L’engin vise à poursuivre l’oeuvre engagée par son prédécesseur, le télescope spatial Kepler, qui a repéré la majeure partie des 3.500 exoplanètes répertoriées depuis les toutes premières découvertes en 1995.
La Nasa attend de TESS qu’il détecte des milliers d’autres exoplanètes, dont peut-être des centaines ayant une taille voisine de la Terre, ou en tout cas pas plus de deux fois celle de notre planète.
De telles planètes passent pour avoir les plus grandes chances de disposer de surfaces telluriques ou d’océans, par opposition avec les géantes gazeuses comme Jupiter ou Neptune.
Il faudra au nouveau télescope autour de 60 jours pour atteindre son orbite fortement elliptique, qui verra TESS osciller entre la Terre et la Lune.
Kepler est tombé en panne en 2013, après quatre ans d’activité, connaissant alors un dysfonctionnement d’un mécanisme qui lui permettait de pointer dans une direction donnée de la voûte céleste. Et même si les scientifiques ont trouvé moyen de le maintenir en activité, il est presque à court de combustible.