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L’appel à la grève nationale à la Poste contre le projet de loi de transformation en société anonyme a été suivi mardi par 22,2% des postiers selon la direction et 40% selon les syndicats.
"On ne va pas dire qu'à 22%, c'est un succès", a déclaré M. Estrosi sur France inter.
"Mais "même si cette mobilisation est très faible et très peu significative (...), ça veut dire qu'il y a encore une minorité de salariés qui sont inquiets et mon devoir est de continuer à dialoguer avec eux", a-t-il ajouté.
Revenant sur les craintes des syndicats d'une privatisation future de La Poste à l'instar de GDF, le ministre a affirmé que "la loi de GDF n'était pas rédigé de la même manière (que celle de La Poste)".
Selon M. Estrosi, le projet de loi sur La Poste garantit qu'à aucun moment des capitaux de fonds privés n'entreront au capital de La Poste.
"C'est une garantie qui n'a jamais été apporté sur la réforme de GDF", a-t-il expliqué.
Les cinq syndicats à l'origine de la grève (CGT, Sud, CFDT, FO, CFTC), qui pèsent 94% des voix aux élections professionnelles, jugent que l'Etat peut financer La Poste via des dotations en capital, sans créer une société par actions, prélude, selon eux, à une privatisation.
"On ne va pas dire qu'à 22%, c'est un succès", a déclaré M. Estrosi sur France inter.
"Mais "même si cette mobilisation est très faible et très peu significative (...), ça veut dire qu'il y a encore une minorité de salariés qui sont inquiets et mon devoir est de continuer à dialoguer avec eux", a-t-il ajouté.
Revenant sur les craintes des syndicats d'une privatisation future de La Poste à l'instar de GDF, le ministre a affirmé que "la loi de GDF n'était pas rédigé de la même manière (que celle de La Poste)".
Selon M. Estrosi, le projet de loi sur La Poste garantit qu'à aucun moment des capitaux de fonds privés n'entreront au capital de La Poste.
"C'est une garantie qui n'a jamais été apporté sur la réforme de GDF", a-t-il expliqué.
Les cinq syndicats à l'origine de la grève (CGT, Sud, CFDT, FO, CFTC), qui pèsent 94% des voix aux élections professionnelles, jugent que l'Etat peut financer La Poste via des dotations en capital, sans créer une société par actions, prélude, selon eux, à une privatisation.
