Tarek Aziz et Saddam Hussein
Moscou espère que "le conseil présidentiel irakien n'autorisera pas l'application de la peine de mort" infligée à Tarez Aziz, a indiqué le ministère.
"Des raisons humanitaires élémentaires exigent qu'on fasse preuve de clémence à son égard", a-t-il ajouté.
Mardi, la Haute cour pénale irakienne a condamné à mort Tarek Aziz pour "crimes contre l'humanité" au moment de la répression des chiites dans les années 1980.
Emprisonné depuis sa reddition fin avril 2003, un mois après l'invasion américaine de l'Irak, Tarek Aziz a été condamné à mort en même temps que deux autres piliers du régime de Saddam Hussein, l'ancien ministre de l'Intérieur Saadoun Shaker et l'ancien secrétaire du dictateur, Abed Hmoud.
Les condamnés ont un mois pour faire appel. Si la peine de mort est confirmée, elle devra encore être approuvée par le conseil présidentiel avant d'être appliquée.
"Des raisons humanitaires élémentaires exigent qu'on fasse preuve de clémence à son égard", a-t-il ajouté.
Mardi, la Haute cour pénale irakienne a condamné à mort Tarek Aziz pour "crimes contre l'humanité" au moment de la répression des chiites dans les années 1980.
Emprisonné depuis sa reddition fin avril 2003, un mois après l'invasion américaine de l'Irak, Tarek Aziz a été condamné à mort en même temps que deux autres piliers du régime de Saddam Hussein, l'ancien ministre de l'Intérieur Saadoun Shaker et l'ancien secrétaire du dictateur, Abed Hmoud.
Les condamnés ont un mois pour faire appel. Si la peine de mort est confirmée, elle devra encore être approuvée par le conseil présidentiel avant d'être appliquée.