Vyacheslav Dzirkaln
"La Russie comme les autres pays est préoccupée par la situation en Syrie", a déclaré au salon aéronautique de Farnborough (Grande-Bretagne) le chef adjoint de la Coopération militaire technique de la Fédération russe, Vyacheslav Dzirkaln, cité par les agences de presse russes.
"Nous n'envisageons pas de nouvelles livraisons de nouvelles armes à ce pays", a déclaré le responsable russe.
"Jusqu'à ce que la situation soit stabilisée il n'y aura pas d'expédition de nouvelles armes", a ajouté M. Dzirkaln.
La Russie fait valoir depuis longtemps qu'elle ne fait qu'honorer les contrats en vigueur avec la Syrie et qu'elle ne fournit aucun de ses équipements les plus modernes aux termes des contrats signés depuis le début du conflit il y a dix-huit mois.
Certaines entreprises russes de la défense mènent encore leurs propres négociations avec Damas et concluent des accords qui, selon la presse, n'ont pas été exécutés jusqu'à présent.
M. Dzirkaln se référait en particulier à la livraison de nouveaux avions d'entraînement Yak-130 exposés au salon aéronautique.
Les médias russes ont indiqué que plusieurs avions Yak auraient fait l'objet d'un contrat de vente avec le régime de Bachar al-Assad. M. Dzirkaln a assuré que les avions ne seraient pas livrés.
Mais le directeur  de l'agence des exportations d'armement Alexander Fomin a aussi souligné que Moscou avait l'intention de continuer de fournir à Damas des armes et des équipemenhts militaires couverts par d'anciens contrats.
"La Syrie est notre vieille amie et nous honorons toutes nos obligations à l'égard de nos amis", a déclaré M. Fomin, cité par les agences russes.
La Russie a tenté le mois dernier de livrer plusieurs hélicoptères de combat réparés et un système de défense aérienne à la Syrie en indiquant que le contrat avait été signé il y a quelques années.
Mais cette livraison a dû rebrousser chemin après que l'assureur britannique eut pris connaissance du véritable contenu de la cargaison et eut retiré sa couverture d'assurance.
"Nous n'envisageons pas de nouvelles livraisons de nouvelles armes à ce pays", a déclaré le responsable russe.
"Jusqu'à ce que la situation soit stabilisée il n'y aura pas d'expédition de nouvelles armes", a ajouté M. Dzirkaln.
La Russie fait valoir depuis longtemps qu'elle ne fait qu'honorer les contrats en vigueur avec la Syrie et qu'elle ne fournit aucun de ses équipements les plus modernes aux termes des contrats signés depuis le début du conflit il y a dix-huit mois.
Certaines entreprises russes de la défense mènent encore leurs propres négociations avec Damas et concluent des accords qui, selon la presse, n'ont pas été exécutés jusqu'à présent.
M. Dzirkaln se référait en particulier à la livraison de nouveaux avions d'entraînement Yak-130 exposés au salon aéronautique.
Les médias russes ont indiqué que plusieurs avions Yak auraient fait l'objet d'un contrat de vente avec le régime de Bachar al-Assad. M. Dzirkaln a assuré que les avions ne seraient pas livrés.
Mais le directeur  de l'agence des exportations d'armement Alexander Fomin a aussi souligné que Moscou avait l'intention de continuer de fournir à Damas des armes et des équipemenhts militaires couverts par d'anciens contrats.
"La Syrie est notre vieille amie et nous honorons toutes nos obligations à l'égard de nos amis", a déclaré M. Fomin, cité par les agences russes.
La Russie a tenté le mois dernier de livrer plusieurs hélicoptères de combat réparés et un système de défense aérienne à la Syrie en indiquant que le contrat avait été signé il y a quelques années.
Mais cette livraison a dû rebrousser chemin après que l'assureur britannique eut pris connaissance du véritable contenu de la cargaison et eut retiré sa couverture d'assurance.