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Dans son intervention, le ministre des Affaires étrangères a indiqué que la Tunisie accorde une attention particulière à la question du dialogue des civilisations et des religions, en tant que pilier de sa politique étrangère, partant de sa conviction que la paix dans le monde ne saurait être confortée sans dialogue, ni tolérance ou entente, et que la réalisation d’un tel objectif commande à tous un surcroît d’ouverture sur l’autre, le rejet de toutes formes de fanatisme et de toutes tentatives de mise en doute ou d’affabulation, et l’identification de solutions justes aux principales questions internationales en suspens, au premier rang desquelles figure la cause palestinienne.
Ceci en plus des disparités flagrantes que connaît le monde en matière de développement économique et social, ce qui impose la réflexion sur la recherche d’une nouvelle forme de relations entre Etats, peuples et individus.
Le ministre a mis l’accent sur la place privilégiée qu’occupent les jeunes en Tunisie, en tant que véritable richesse du présent et de l’avenir du pays, passant en revue l’initiative de la Tunisie de proclamer l’année 2008, année du dialogue global avec les jeunes, laquelle année a été couronnée par la signature d’un Pacte de la jeunesse, qui a fait l’unanimité des jeunes tunisiens et a été adopté comme référence dans leur vie associative et politique.
Il a, à cet égard, souligné l’appel du président de la République à placer l’année 2010 sous le signe de l’Année mondiale de la jeunesse et d’organiser, durant la même année, un congrès mondial de la jeunesse, sous les auspices de l’Organisation des Nations Unies, en vue de déboucher sur un pacte international qui constituerait un lien solide rattachant les jeunes, partout dans le monde, aux valeurs universelles communes, saluant, dans ce contexte, la décision issue du Sommet arabe et du sommet des pays arabes et des pays d’Amérique du Sud d’adopter et de soutenir cette initiative présidentielle.
M. Abdelwaheb Abdallah a, également, évoqué les différentes initiatives prises par le chef de l’Etat en vue de conforter l’entente entre les peuples, les cultures et les religions, et de consacrer la culture du dialogue.
Il a, à ce propos, rappelé l’adoption, en 1995, de la Charte de Carthage sur la tolérance, la création, en 2001, de la Chaire Ben Ali pour le dialogue des civilisations et des religions, l’institution, en 2002, du Prix international du Président de la République pour les études islamiques, la création, en mai 2005, du Forum de Tunis pour la paix et la mise en place, en juin 2005, du Centre de recherches et d’études pour le dialogue des civilisations des religions comparées.
Ceci outre la Déclaration de Tunis pour l’Alliance des Civilisations, en février 2006, l’accueil par la Tunisie, en novembre 2007, de la Conférence internationale sur “Le terrorisme : dimensions, menaces et contre-mesures” et la proclamation de Kairouan, capitale de la culture islamique, en 2009.
Le ministre a fait observer que le dialogue équilibré et efficace commande d’œuvrer à consolider les institutions onusiennes et à en dynamiser le rôle, et de fournir davantage d’effort pour traiter les causes profondes de tensions, de conflits et de pauvreté dans le monde, à travers l’impulsion des divers mécanismes de coopération et de solidarité entre les pays, à l’instar du Fonds mondial de solidarité, que le Président de la République avait appelé à sa création et qui a été mis en place, en 2002, en vertu d’une résolution onusienne.
M. Abdelwaheb Abdallah a appelé à surmonter les obstacles qui entravent la coopération entre l’Orient et l’Occident, et le Nord et le Sud, et à œuvrer de concert en vue de faire prévaloir la dimension humanitaire et de reconnaître que la sécurité, la stabilité et la prospérité de tout Etat constituent des facteurs essentiels pour la garantie de la sécurité, de la stabilité et de la prospérité du monde.
Ceci en plus des disparités flagrantes que connaît le monde en matière de développement économique et social, ce qui impose la réflexion sur la recherche d’une nouvelle forme de relations entre Etats, peuples et individus.
Le ministre a mis l’accent sur la place privilégiée qu’occupent les jeunes en Tunisie, en tant que véritable richesse du présent et de l’avenir du pays, passant en revue l’initiative de la Tunisie de proclamer l’année 2008, année du dialogue global avec les jeunes, laquelle année a été couronnée par la signature d’un Pacte de la jeunesse, qui a fait l’unanimité des jeunes tunisiens et a été adopté comme référence dans leur vie associative et politique.
Il a, à cet égard, souligné l’appel du président de la République à placer l’année 2010 sous le signe de l’Année mondiale de la jeunesse et d’organiser, durant la même année, un congrès mondial de la jeunesse, sous les auspices de l’Organisation des Nations Unies, en vue de déboucher sur un pacte international qui constituerait un lien solide rattachant les jeunes, partout dans le monde, aux valeurs universelles communes, saluant, dans ce contexte, la décision issue du Sommet arabe et du sommet des pays arabes et des pays d’Amérique du Sud d’adopter et de soutenir cette initiative présidentielle.
M. Abdelwaheb Abdallah a, également, évoqué les différentes initiatives prises par le chef de l’Etat en vue de conforter l’entente entre les peuples, les cultures et les religions, et de consacrer la culture du dialogue.
Il a, à ce propos, rappelé l’adoption, en 1995, de la Charte de Carthage sur la tolérance, la création, en 2001, de la Chaire Ben Ali pour le dialogue des civilisations et des religions, l’institution, en 2002, du Prix international du Président de la République pour les études islamiques, la création, en mai 2005, du Forum de Tunis pour la paix et la mise en place, en juin 2005, du Centre de recherches et d’études pour le dialogue des civilisations des religions comparées.
Ceci outre la Déclaration de Tunis pour l’Alliance des Civilisations, en février 2006, l’accueil par la Tunisie, en novembre 2007, de la Conférence internationale sur “Le terrorisme : dimensions, menaces et contre-mesures” et la proclamation de Kairouan, capitale de la culture islamique, en 2009.
Le ministre a fait observer que le dialogue équilibré et efficace commande d’œuvrer à consolider les institutions onusiennes et à en dynamiser le rôle, et de fournir davantage d’effort pour traiter les causes profondes de tensions, de conflits et de pauvreté dans le monde, à travers l’impulsion des divers mécanismes de coopération et de solidarité entre les pays, à l’instar du Fonds mondial de solidarité, que le Président de la République avait appelé à sa création et qui a été mis en place, en 2002, en vertu d’une résolution onusienne.
M. Abdelwaheb Abdallah a appelé à surmonter les obstacles qui entravent la coopération entre l’Orient et l’Occident, et le Nord et le Sud, et à œuvrer de concert en vue de faire prévaloir la dimension humanitaire et de reconnaître que la sécurité, la stabilité et la prospérité de tout Etat constituent des facteurs essentiels pour la garantie de la sécurité, de la stabilité et de la prospérité du monde.
