Le niveau du salaire minima en Tunisie, mesuré en termes de parité de pouvoir d’achat (PPA), se situe autour de 400 dollars, contre une moyenne de 100 à 120 dollars en Afrique et en Asie et une moyenne mondiale de l’ordre de 220 dollars.
Ces statistiques servent à appuyer les mesures en vue de garantir, à tous, une participation équitable aux fruits du progrès et un salaire minimum vital à ceux qui ont un emploi.
Elles ont été établies à la lumière des données actualisées relatives à plus de cent pays et comprenant des statistiques sur le niveau des salaires minima, en valeur absolue et en valeur relative par rapport à la fois au PIB par tête d’habitant et aux salaires moyens.
Le classement de la Tunisie à l’avant-garde des pays arabes et africains et à un rang honorable au niveau mondial, en matière de salaires minima, est l’aboutissement d’une politique salariale cohérente basée sur l’adéquation entre le développement économique et la promotion sociale.
Cette politique a été favorisée par l’instauration, depuis 1987, de la tradition du dialogue entre tous les partenaires sociaux et la promotion de la politique contractuelle.
Dans cette optique, un programme triennal d’augmentation des salaires au profit des travailleurs dans le secteur public et dans les entreprises privées soumises aux conventions collectives a été mis en place depuis 1990.
Aussi, la révision périodique des conventions collectives sectorielles a-t-elle permis de préserver le climat social sain dans l’entreprise et de consolider le pouvoir d’achat des salariés.
Ces statistiques servent à appuyer les mesures en vue de garantir, à tous, une participation équitable aux fruits du progrès et un salaire minimum vital à ceux qui ont un emploi.
Elles ont été établies à la lumière des données actualisées relatives à plus de cent pays et comprenant des statistiques sur le niveau des salaires minima, en valeur absolue et en valeur relative par rapport à la fois au PIB par tête d’habitant et aux salaires moyens.
Le classement de la Tunisie à l’avant-garde des pays arabes et africains et à un rang honorable au niveau mondial, en matière de salaires minima, est l’aboutissement d’une politique salariale cohérente basée sur l’adéquation entre le développement économique et la promotion sociale.
Cette politique a été favorisée par l’instauration, depuis 1987, de la tradition du dialogue entre tous les partenaires sociaux et la promotion de la politique contractuelle.
Dans cette optique, un programme triennal d’augmentation des salaires au profit des travailleurs dans le secteur public et dans les entreprises privées soumises aux conventions collectives a été mis en place depuis 1990.
Aussi, la révision périodique des conventions collectives sectorielles a-t-elle permis de préserver le climat social sain dans l’entreprise et de consolider le pouvoir d’achat des salariés.