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"Nous avons mené une enquête et avons établi qu'il n'était pas vrai qu'Öcalan est traité différemment des autres détenus. Ses conditions sont conformes aux normes internationales et même meilleures", a dit Zafer Üskül à la chaîne d'information NTV.
Depuis le week-end dernier, des manifestations quotidiennes sont organisées à travers la Turquie pour dénoncer les conditions de détention d'Öcalan, qui, selon les Kurdes, se sont détériorées.
Le chef-fondateur du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan, illégal), 61 ans, qui purgeait en solitaire depuis 1999 une peine de prison à vie sur l'île d'Imrali (nord-ouest), a été transféré à la mi-novembre dans une autre cellule du même pénitencier et il peut côtoyer maintenant d'autres détenus comme le demandait le Comité antitorture (CPT) du Conseil de l'Europe.
"Mes conditions sont pires qu'avant. Je ne sais pas combien de temps je pourrai résister à ces conditions qui ont fait de moi un homme mi-mort, mi-vivant", s'est plaint cependant Öcalan auprès de ses défenseurs, parlant d'une "cellule de 6-7 m2".
M. Üskül a rejeté ces allégations, indiquant que cette nouvelle cellule était de 11,8 m2 contre 11,9 m2 auparavant.
"Notre peuple (kurde) est mal informé et les rumeurs se répandent vite", a souligné M. Üskül.
Le ministère de la Justice a publié vendredi des photos de la prison d'Öcalan pour montrer que ses conditions sont identiques aux autres prisonniers incarcérés dans des établissements de haute sécurité.
Ankara a récemment annoncé des mesures visant à améliorer les droits des Kurdes dans l'espoir d'éroder le soutien de la population au PKK, en lutte contre les forces turques depuis 1984.
Depuis le week-end dernier, des manifestations quotidiennes sont organisées à travers la Turquie pour dénoncer les conditions de détention d'Öcalan, qui, selon les Kurdes, se sont détériorées.
Le chef-fondateur du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan, illégal), 61 ans, qui purgeait en solitaire depuis 1999 une peine de prison à vie sur l'île d'Imrali (nord-ouest), a été transféré à la mi-novembre dans une autre cellule du même pénitencier et il peut côtoyer maintenant d'autres détenus comme le demandait le Comité antitorture (CPT) du Conseil de l'Europe.
"Mes conditions sont pires qu'avant. Je ne sais pas combien de temps je pourrai résister à ces conditions qui ont fait de moi un homme mi-mort, mi-vivant", s'est plaint cependant Öcalan auprès de ses défenseurs, parlant d'une "cellule de 6-7 m2".
M. Üskül a rejeté ces allégations, indiquant que cette nouvelle cellule était de 11,8 m2 contre 11,9 m2 auparavant.
"Notre peuple (kurde) est mal informé et les rumeurs se répandent vite", a souligné M. Üskül.
Le ministère de la Justice a publié vendredi des photos de la prison d'Öcalan pour montrer que ses conditions sont identiques aux autres prisonniers incarcérés dans des établissements de haute sécurité.
Ankara a récemment annoncé des mesures visant à améliorer les droits des Kurdes dans l'espoir d'éroder le soutien de la population au PKK, en lutte contre les forces turques depuis 1984.
