
Daniel Schneidermann
"Nous avons découvert dans une grotte située à l'est de Tel-Aviv huit dents qui pourraient constituer les premières traces de l'Homo sapiens", a affirmé M. Gopher à l'AFP.
"L'examen des stalagmites et stalactites, ainsi que d'autres matériaux découverts sur place, indiquent que cette caverne a commencé à être utilisée il y a 400.000 ans", a-t-il expliqué.
"Les dents trouvées dans la grotte Qessem étaient éparpillées parmi les diverses couches de la caverne, certaines remontant à 200.000 ans, et les plus vieilles à 400.000 ans", a-t-il ajoutée dit M. Gopher.
"Pour l'instant, il est convenu que les traces les plus anciennes de l'Homo sapiens que nous connaissons se trouvent en Afrique de l'est et remontent à 200.000 ans, ou un peu moins", a-t-il souligné.
M. Gopher a précisé qu'une première dent avait été trouvée en 2006 dans la caverne Qessem, mais que ses collègues et lui-même avaient préféré continuer à fouiller pour trouver d'autres dents et procéder à une série de tests et d'examens de datation avant de faire connaître leur découverte.
"Les fouilles continuent dans cette grotte. Les chercheurs espèrent trouver d'autres vestiges qui leur permettront d'étayer leurs travaux et de mieux comprendre l'évolution de l'humanité et l'apparition de l'homme moderne", a indiqué dans un communiqué l'Université de Tel-Aviv.
"L'examen des stalagmites et stalactites, ainsi que d'autres matériaux découverts sur place, indiquent que cette caverne a commencé à être utilisée il y a 400.000 ans", a-t-il expliqué.
"Les dents trouvées dans la grotte Qessem étaient éparpillées parmi les diverses couches de la caverne, certaines remontant à 200.000 ans, et les plus vieilles à 400.000 ans", a-t-il ajoutée dit M. Gopher.
"Pour l'instant, il est convenu que les traces les plus anciennes de l'Homo sapiens que nous connaissons se trouvent en Afrique de l'est et remontent à 200.000 ans, ou un peu moins", a-t-il souligné.
M. Gopher a précisé qu'une première dent avait été trouvée en 2006 dans la caverne Qessem, mais que ses collègues et lui-même avaient préféré continuer à fouiller pour trouver d'autres dents et procéder à une série de tests et d'examens de datation avant de faire connaître leur découverte.
"Les fouilles continuent dans cette grotte. Les chercheurs espèrent trouver d'autres vestiges qui leur permettront d'étayer leurs travaux et de mieux comprendre l'évolution de l'humanité et l'apparition de l'homme moderne", a indiqué dans un communiqué l'Université de Tel-Aviv.