"On aura une augmentation du chômage dans tous les pays européens qui va se poursuivre tout au long de 2009 et sans doute encore un peu au début de l'année 2010", a dit le Premier ministre sur Europe 1.
"Pour que l'économie crée des emplois, il faut qu'elle soit en croissance d'au moins 1,5 à 2 pour cent", a-t-il souligné.
"Les plans de relance européens vont donner tous leurs effets à partir de l'été", a assuré François Fillon, observant par ailleurs des "signes de reprise aux Etats-Unis".
Le chef du gouvernement a précisé que des "mesures complémentaires" seraient mises en oeuvre dans les prochaines semaines en faveur des jeunes chômeurs.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a quant à elle confirmé en marge d'un forum bancaire franco-arabe que les chiffres du chômage pour le mois d'avril, qui seront rendus publics ce vendredi à 18h00 (16h00 GMT), seraient médiocres.
"Ce que je sais, c'est qu'ils ne seront pas bons, comme tous les chiffres ces temps-ci. Ce que j'espère, c'est une stabilisation", a-t-elle déclaré.
"On a les conséquences sociales d'une crise économique, les conséquences sociales durent toujours plus longtemps", a-t-elle ajoute.
"Pour que l'économie crée des emplois, il faut qu'elle soit en croissance d'au moins 1,5 à 2 pour cent", a-t-il souligné.
"Les plans de relance européens vont donner tous leurs effets à partir de l'été", a assuré François Fillon, observant par ailleurs des "signes de reprise aux Etats-Unis".
Le chef du gouvernement a précisé que des "mesures complémentaires" seraient mises en oeuvre dans les prochaines semaines en faveur des jeunes chômeurs.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a quant à elle confirmé en marge d'un forum bancaire franco-arabe que les chiffres du chômage pour le mois d'avril, qui seront rendus publics ce vendredi à 18h00 (16h00 GMT), seraient médiocres.
"Ce que je sais, c'est qu'ils ne seront pas bons, comme tous les chiffres ces temps-ci. Ce que j'espère, c'est une stabilisation", a-t-elle déclaré.
"On a les conséquences sociales d'une crise économique, les conséquences sociales durent toujours plus longtemps", a-t-elle ajoute.