Des tribunaux administratifs ont décidé que l'élection ne pourrait se tenir dans douze circonscriptions des gouvernorats de Kafr el-Cheikh et Qalyoubiya, dans le delta du Nil, et dans deux circonscriptions des gouvernorats de Sohag et Assiout, en moyenne-Egypte.
L'Egypte est divisée en 254 circonscriptions, qui comptent deux sièges de députés chacune.
Ces annulations s'ajoutent à celles déjà prononcées mercredi pour dix des onze circonscriptions d'Alexandrie (nord), la deuxième ville du pays.
Ces décisions de justice vont toutefois probablement être suspendues, en raison de recours de la part du Parti national démocrate (PND) au pouvoir.
Un grand nombre des candidats invalidés par la haute commission électorale sont soutenus par les Frères musulmans ou sont des indépendants.
Les Frères musulmans, bête noire du pouvoir, soutiennent 130 candidats au total. Ils dénoncent une vaste campagne d'obstruction et de répression à l'approche du scrutin, avec l'arrestation de plus d'un millier de leurs militants.
Le PND a annoncé jeudi qu'il demandait à la justice d'invalider les candidats soutenus par la confrérie, officiellement interdite, au motif qu'ils se présentent comme des "indépendants" pour pourvoir valider leur candidature.
Les Frères musulmans avaient remporté un cinquième des sièges de députés en 2005. Le PND du président Hosni Moubarak s'apprête à conserver son emprise sur l'Assemblée du peuple lors du scrutin à deux tours, le 28 novembre et le 5 décembre.
L'Egypte est divisée en 254 circonscriptions, qui comptent deux sièges de députés chacune.
Ces annulations s'ajoutent à celles déjà prononcées mercredi pour dix des onze circonscriptions d'Alexandrie (nord), la deuxième ville du pays.
Ces décisions de justice vont toutefois probablement être suspendues, en raison de recours de la part du Parti national démocrate (PND) au pouvoir.
Un grand nombre des candidats invalidés par la haute commission électorale sont soutenus par les Frères musulmans ou sont des indépendants.
Les Frères musulmans, bête noire du pouvoir, soutiennent 130 candidats au total. Ils dénoncent une vaste campagne d'obstruction et de répression à l'approche du scrutin, avec l'arrestation de plus d'un millier de leurs militants.
Le PND a annoncé jeudi qu'il demandait à la justice d'invalider les candidats soutenus par la confrérie, officiellement interdite, au motif qu'ils se présentent comme des "indépendants" pour pourvoir valider leur candidature.
Les Frères musulmans avaient remporté un cinquième des sièges de députés en 2005. Le PND du président Hosni Moubarak s'apprête à conserver son emprise sur l'Assemblée du peuple lors du scrutin à deux tours, le 28 novembre et le 5 décembre.