“Contrairement à ce qui a été indiqué, la coopération de BeIN Sports a été minimale”, a déclaré un porte-parole du PNF. “Les équipes présentes sur place se sont opposées au rapatriement de données informatiques hébergées sur des serveurs localisés à Doha”, a-t-il ajouté.
Ce type d‘opération est prévu par la Convention de Budapest sur la cybercriminalité, rappelle-t-on de source proche de l‘enquête, pour ajouter qu‘il est très rare, depuis la ratification en 2005 de cette convention, qu‘une entreprise faisant l‘objet d‘une perquisition en France s‘oppose ainsi à un rapatriement de données.
Deux magistrats du PNF ont procédé à cette perquisition au siège parisien de BeIN Sports France. Ils étaient assistés d‘enquêteurs de l‘office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).
L‘opération a été menée sous l’égide d‘Eurojust, l‘unité de coopération judiciaire de l‘Union européenne, et en étroite coordination avec le ministère public suisse.
La Suisse a ouvert en mars une procédure pénale contre l‘ex-secrétaire général de la Fédération internationale de football association (Fifa), Jérôme Valcke, et Nasser al-Khelaïfi, président du PSG et PDG du groupe qatari BeIN Media Group.
Ils sont soupçonnés de corruption privée, d‘escroquerie, de gestion déloyale et de faux, en lien avec l‘octroi de droits média pour les Coupes du monde 2018, 2022, 2026 et 2030 pour le premier et 2026 et 2030 pour Nasser al Khelaïfi.
Dans un communiqué publié après l‘opération, BeIN Media Group a indiqué que ses “équipes présentes sur place ont coopéré avec les autorités jusqu’à l’issue de la perquisition” et réfuté les accusations de la justice suisse.
Il a ajouté qu‘il “collaborera pleinement avec les autorités et attend sereinement les suites de l‘enquête”.
Ce type d‘opération est prévu par la Convention de Budapest sur la cybercriminalité, rappelle-t-on de source proche de l‘enquête, pour ajouter qu‘il est très rare, depuis la ratification en 2005 de cette convention, qu‘une entreprise faisant l‘objet d‘une perquisition en France s‘oppose ainsi à un rapatriement de données.
Deux magistrats du PNF ont procédé à cette perquisition au siège parisien de BeIN Sports France. Ils étaient assistés d‘enquêteurs de l‘office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).
L‘opération a été menée sous l’égide d‘Eurojust, l‘unité de coopération judiciaire de l‘Union européenne, et en étroite coordination avec le ministère public suisse.
La Suisse a ouvert en mars une procédure pénale contre l‘ex-secrétaire général de la Fédération internationale de football association (Fifa), Jérôme Valcke, et Nasser al-Khelaïfi, président du PSG et PDG du groupe qatari BeIN Media Group.
Ils sont soupçonnés de corruption privée, d‘escroquerie, de gestion déloyale et de faux, en lien avec l‘octroi de droits média pour les Coupes du monde 2018, 2022, 2026 et 2030 pour le premier et 2026 et 2030 pour Nasser al Khelaïfi.
Dans un communiqué publié après l‘opération, BeIN Media Group a indiqué que ses “équipes présentes sur place ont coopéré avec les autorités jusqu’à l’issue de la perquisition” et réfuté les accusations de la justice suisse.
Il a ajouté qu‘il “collaborera pleinement avec les autorités et attend sereinement les suites de l‘enquête”.