Oussama Ben Laden
"C'est un événement considérable pour le monde entier", a déclaré M. Longuet, qui a ajouté avoir "une pensée pour les 3.000 morts du 11 septembre, pour tous les soldats et les populations civiles tués en Afghanistan, pour toutes les victimes du terrorisme et pour nos otages qui sont encore détenus par des sous-filiales d'Al-Qaïda".
Interrogé sur les conséquences de la mort de Ben Laden sur le sort des deux journalistes de France 3, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, otages depuis plus d'un an en Afghanistan, il a estimé qu'elle pouvait jouer "positivement".
"Il y avait dans le caractère insaisissable depuis 10 ans de Ben Laden une sorte de symbole d'impunité (...) et ce symbole tombe brutalement", a expliqué le ministre.
Selon lui, "le service que les Etats-Unis viennent de rendre aux démocraties mondiales et à ceux qui aiment le droit c'est de penser qu'en fin de compte le terrorisme sera puni. C'est très important", c'est "un symbole fort".
M. Longuet a aussi estimé que "la guerre civile interne (afghane) peut peut-être évoluer rapidement", après cet évènement.
Alors qu'on lui demandait si la disparition de Ben Laden pouvait hâter le retour des troupes françaises, il a répondu: "Je pense à nos soldats, j'aimerais que la mission soit terminée et qu'ils puissent revenir".
Interrogé sur les conséquences de la mort de Ben Laden sur le sort des deux journalistes de France 3, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, otages depuis plus d'un an en Afghanistan, il a estimé qu'elle pouvait jouer "positivement".
"Il y avait dans le caractère insaisissable depuis 10 ans de Ben Laden une sorte de symbole d'impunité (...) et ce symbole tombe brutalement", a expliqué le ministre.
Selon lui, "le service que les Etats-Unis viennent de rendre aux démocraties mondiales et à ceux qui aiment le droit c'est de penser qu'en fin de compte le terrorisme sera puni. C'est très important", c'est "un symbole fort".
M. Longuet a aussi estimé que "la guerre civile interne (afghane) peut peut-être évoluer rapidement", après cet évènement.
Alors qu'on lui demandait si la disparition de Ben Laden pouvait hâter le retour des troupes françaises, il a répondu: "Je pense à nos soldats, j'aimerais que la mission soit terminée et qu'ils puissent revenir".