Dee Alexander (le 23 janvier au Kremlin-Bicêtre), chanteuse de Chicago, interprétera dans un certain respect de la tradition des chansons de Nina Simone (décédée en 2003), mais aussi de Dinah Washington (1924-1963), l'une des plus blues divas du jazz.
Le 14 février, l'oeuvre de Nina Simone subira un traitement plus rock avec The Black Rock Coalition, fondée en 1985 par le guitariste Vernon Reid.
La contrebassiste Joëlle Léandre, forte personnalité des musiques improvisées, sera doublement à l'affiche, dans des formules toujours singulières : en trio (24 janvier au Kremlin-Bicêtre) avec François Houle (clarinette) et Raymond Strid (percussions), en duo de contrebasses avec William Parker (26 au Dunois à Paris, où Sons d'hiver fait une petite incursion).
Sons d'hiver a l'art de débusquer de vénérables musiciens afro-américains de jazz quasiment inconnus sur le Vieux-Continent, tel le multi-instrumentiste Kelan Phil Cohran (trompette, harpe, batterie...). Cette personnalité du jazz de Chicago, qui a joué dans les années 50 dans l'orchestre de Sun Râ et a participé à la fondation de la réputée AACM, sorte de coopérative de musiciens free à Windy City, donnera à 81 ans son premier concert en Europe, le 31 janvier à Cachan, avec l'Hypnotic Brass Band, dont les membres sont ses fils.
Sons d'hiver tâche d'être en prise avec les musiques afro-américaines urbaines et hybrides ayant un lien plus ou moins fort avec le jazz (funk, slam, hip-hop, soul), ainsi qu'avec les musiques électroniques.
Ainsi, le 30 janvier à Fontenay-sous-Bois, se succéderont Mint Condition, un groupe funk-pop de Minneapolis à la fois "old" et "new school", et Anti-Top Consortium, un groupe rap-électro.
Le Trinidadien Anthony Joseph, qui mêle funk, free jazz, musiques caribéennes et textes parlés chantés, sera à Créteil le 13 février. Les Yohimbe Brothers (14 février à Créteil) mélangent, eux, rock, hip-hop, soul, salsa, électro... Toujours au rayon électro, le vidéaste Pierre Hébert et Bob Ostertag (laptop) associeront images et sons (26 janvier au Dunois à Paris).
Enfin, outre Joëlle Léandre, plusieurs leaders français des musiques improvisées, habitués du festival, sont à l'affiche, comme François Corneloup, Louis Sclavis et Bernard Lubat.
Le 14 février, l'oeuvre de Nina Simone subira un traitement plus rock avec The Black Rock Coalition, fondée en 1985 par le guitariste Vernon Reid.
La contrebassiste Joëlle Léandre, forte personnalité des musiques improvisées, sera doublement à l'affiche, dans des formules toujours singulières : en trio (24 janvier au Kremlin-Bicêtre) avec François Houle (clarinette) et Raymond Strid (percussions), en duo de contrebasses avec William Parker (26 au Dunois à Paris, où Sons d'hiver fait une petite incursion).
Sons d'hiver a l'art de débusquer de vénérables musiciens afro-américains de jazz quasiment inconnus sur le Vieux-Continent, tel le multi-instrumentiste Kelan Phil Cohran (trompette, harpe, batterie...). Cette personnalité du jazz de Chicago, qui a joué dans les années 50 dans l'orchestre de Sun Râ et a participé à la fondation de la réputée AACM, sorte de coopérative de musiciens free à Windy City, donnera à 81 ans son premier concert en Europe, le 31 janvier à Cachan, avec l'Hypnotic Brass Band, dont les membres sont ses fils.
Sons d'hiver tâche d'être en prise avec les musiques afro-américaines urbaines et hybrides ayant un lien plus ou moins fort avec le jazz (funk, slam, hip-hop, soul), ainsi qu'avec les musiques électroniques.
Ainsi, le 30 janvier à Fontenay-sous-Bois, se succéderont Mint Condition, un groupe funk-pop de Minneapolis à la fois "old" et "new school", et Anti-Top Consortium, un groupe rap-électro.
Le Trinidadien Anthony Joseph, qui mêle funk, free jazz, musiques caribéennes et textes parlés chantés, sera à Créteil le 13 février. Les Yohimbe Brothers (14 février à Créteil) mélangent, eux, rock, hip-hop, soul, salsa, électro... Toujours au rayon électro, le vidéaste Pierre Hébert et Bob Ostertag (laptop) associeront images et sons (26 janvier au Dunois à Paris).
Enfin, outre Joëlle Léandre, plusieurs leaders français des musiques improvisées, habitués du festival, sont à l'affiche, comme François Corneloup, Louis Sclavis et Bernard Lubat.