Accueil
Actus
Le bâtiment, qui a coûté un total de 700 millions de dollars, est le plus grand complexe diplomatique américain du monde.
L'audit, disponible sur le site internet du département d'Etat, fait part de "graves défauts de construction" et recommande aux Etats-Unis de demander le remboursement de 132 des 470 millions de dollars versés à la First Kuwaiti Trading and Contracting, une société koweïtienne qui a remporté cinq contrats sur le chantier.
Le rapport -le second consacré au bâtiment- établit que les "zones sûres" dans l'enceinte de l'ambassade n'ont pas été construites selon les normes en la matière.
Des fissures, continue le texte, ont déjà commencé à apparaître sur certaines cloisons et dans des couloirs de l'ambassade, dont l'inauguration remonte au mois de janvier de cette année.
La plomberie est aussi en cause dans 200 cas. Quant au système de traitement des eaux usées, il accuse de graves insuffisances.
Ca n'est pas la première fois que le chantier est montré du doigt. Les retards à répétition et les mauvais traitements réservés à certains ouvriers avaient déjà placé le chantier au centre de la critique.
Mais l'audit rendu public vendredi est le premier du genre à décrire avec force détails les défauts de construction du bâtiment.
L'audit, disponible sur le site internet du département d'Etat, fait part de "graves défauts de construction" et recommande aux Etats-Unis de demander le remboursement de 132 des 470 millions de dollars versés à la First Kuwaiti Trading and Contracting, une société koweïtienne qui a remporté cinq contrats sur le chantier.
Le rapport -le second consacré au bâtiment- établit que les "zones sûres" dans l'enceinte de l'ambassade n'ont pas été construites selon les normes en la matière.
Des fissures, continue le texte, ont déjà commencé à apparaître sur certaines cloisons et dans des couloirs de l'ambassade, dont l'inauguration remonte au mois de janvier de cette année.
La plomberie est aussi en cause dans 200 cas. Quant au système de traitement des eaux usées, il accuse de graves insuffisances.
Ca n'est pas la première fois que le chantier est montré du doigt. Les retards à répétition et les mauvais traitements réservés à certains ouvriers avaient déjà placé le chantier au centre de la critique.
Mais l'audit rendu public vendredi est le premier du genre à décrire avec force détails les défauts de construction du bâtiment.
