Les voitures, alignées sur une grille de départ, portent les noms mythiques de Ferrari, Lotus, Tyrrell, McLaren, Williams ou encore Matra et ont été pilotées par Jim Clark, Jackie Stewart, Michael Schumacher, Alain Prost...
"Cette exposition exceptionnelle avec autant de F1, et dans la durée, a demandé neuf mois de démarches, d'obstination, de relances, auprès de musées, de constructeurs", raconte avec fierté le directeur du musée Dany Chamfrault. "Car un prêt de six mois, c'est long pour des voitures sollicitées dans le monde entier", explique-t-il.
La pôle position est occupée par une Ferrari, celle de 2007 conduite par Felipe Massa. A sa droite, la Renault 2005 de Fernando Alonso, l'année du sacre.
On trouve en deuxième ligne, la McLaren-Mercedes (1999) de Mika Häkkinen, une Prost-Peugeot, puis la Benetton-Renault avec laquelle Michael Schumacher a remporté en 1995 son deuxième titre. Viennent ensuite, la Williams-Renault d'Alain Prost, de 1993, année de son quatrième titre, ou encore une Tyrrell.
"La Ferrari connaît le plus de succès notamment auprès des jeunes", souligne le directeur.
Sur la gauche de la grille, sont rangées des F1 plus anciennes: une Gordini de 1956, la Lotus 1963 de l'Ecossais Jim Clark, la Matra de l'Ecossais Jackie Stewart en 1969, année du doublé. "On peut voir ainsi la transformation, l'évolution des F1", note le responsable.
Un plateau de rêve "d'un montant de plus de 7 millions d'euros" qui revient à environ "20.000 euros" au musée. "Les voitures sont prêtées presque toutes gratuitement. C'est une reconnaissance pour le musée Matra et son travail de mémoire sur l'automobile", se félicite M. Chamfrault.
Les voitures sont arrivées par camion sous haute sécurité. Les chauffeurs devaient suivre un itinéraire, respecter un horaire et composer à leur arrivée un numéro de téléphone pour pouvoir déverrouiller les portes.
Les visiteurs plongés au coeur d'un Grand Prix pourront également découvrir les casques de plusieurs pilotes et tout savoir sur ce sport grâce à des panneaux explicatifs décrivant l'intérieur d'une F1, la sécurité, l'équipement. Une immense carte permet de situer les circuits de F1 dans le monde.
"L'année où il n'y a pas eu de Grand Prix en France, les amoureux de la Formule 1 peuvent venir à Romorantin. Ils verront des F1", lance avec sourire le directeur.
L'exposition baptisée "la Formule 1 en pôle position" et ouverte jusqu'au 15 novembre, célèbre les 40 ans de la victoire de Matra au championnat du monde des pilotes et constructeurs. Le musée retrace, depuis son ouverture en 2000, l'aventure industrielle et sportive du constructeur français.
Romorantin, au coeur de la Sologne, a abrité les usines d'où sont sortis plus d'un million de véhicules entre 1962 et juin 2003, la fin de Matra.
"Cette exposition exceptionnelle avec autant de F1, et dans la durée, a demandé neuf mois de démarches, d'obstination, de relances, auprès de musées, de constructeurs", raconte avec fierté le directeur du musée Dany Chamfrault. "Car un prêt de six mois, c'est long pour des voitures sollicitées dans le monde entier", explique-t-il.
La pôle position est occupée par une Ferrari, celle de 2007 conduite par Felipe Massa. A sa droite, la Renault 2005 de Fernando Alonso, l'année du sacre.
On trouve en deuxième ligne, la McLaren-Mercedes (1999) de Mika Häkkinen, une Prost-Peugeot, puis la Benetton-Renault avec laquelle Michael Schumacher a remporté en 1995 son deuxième titre. Viennent ensuite, la Williams-Renault d'Alain Prost, de 1993, année de son quatrième titre, ou encore une Tyrrell.
"La Ferrari connaît le plus de succès notamment auprès des jeunes", souligne le directeur.
Sur la gauche de la grille, sont rangées des F1 plus anciennes: une Gordini de 1956, la Lotus 1963 de l'Ecossais Jim Clark, la Matra de l'Ecossais Jackie Stewart en 1969, année du doublé. "On peut voir ainsi la transformation, l'évolution des F1", note le responsable.
Un plateau de rêve "d'un montant de plus de 7 millions d'euros" qui revient à environ "20.000 euros" au musée. "Les voitures sont prêtées presque toutes gratuitement. C'est une reconnaissance pour le musée Matra et son travail de mémoire sur l'automobile", se félicite M. Chamfrault.
Les voitures sont arrivées par camion sous haute sécurité. Les chauffeurs devaient suivre un itinéraire, respecter un horaire et composer à leur arrivée un numéro de téléphone pour pouvoir déverrouiller les portes.
Les visiteurs plongés au coeur d'un Grand Prix pourront également découvrir les casques de plusieurs pilotes et tout savoir sur ce sport grâce à des panneaux explicatifs décrivant l'intérieur d'une F1, la sécurité, l'équipement. Une immense carte permet de situer les circuits de F1 dans le monde.
"L'année où il n'y a pas eu de Grand Prix en France, les amoureux de la Formule 1 peuvent venir à Romorantin. Ils verront des F1", lance avec sourire le directeur.
L'exposition baptisée "la Formule 1 en pôle position" et ouverte jusqu'au 15 novembre, célèbre les 40 ans de la victoire de Matra au championnat du monde des pilotes et constructeurs. Le musée retrace, depuis son ouverture en 2000, l'aventure industrielle et sportive du constructeur français.
Romorantin, au coeur de la Sologne, a abrité les usines d'où sont sortis plus d'un million de véhicules entre 1962 et juin 2003, la fin de Matra.