Hors jus de raisins et moûts destinés à la vinification, la production de vin a totalisé 250 millions d’hectolitres l’an dernier, contre 273 millions en 2016, selon les chiffres estimés par l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) et publiés mardi.
“Cette production historiquement faible s’explique surtout par des conditions climatiques défavorables au sein de l’Union européenne”, souligne l’OIV dans un communiqué.
La production n’avait pas été aussi faible depuis 1957, année où elle était tombée à 173,8 millions d’hectolitres.
En Italie, premier producteur mondial, la chute a été de 17% en valeur, tandis qu’elle a atteint 19% en France (2e rang mondial) où des épisodes de gel ont particulièrement touché le Bordelais, les Charentes, le Jura et l’Alsace.
En troisième place, l’Espagne n’a pas été épargnée, avec un décrochage de sa production de 20%.
La production a limitée sa baisse à 1,0% aux Etats-Unis, quatrième producteur mondial, ainsi qu’en Chine qui s’est hissée au septième rang mondial des producteurs de vin derrière l’Australie et l’Argentine.
Les tendances ont été contrastées en Amérique latine, avec une hausse de 25% en Argentine et un recul de 6% au Chili (9e rang mondial).
La consommation de vin s’est quant à elle stabilisée aux environs de 243 millions d’hectolitres en 2017, contre 242 millions un an auparavant, dans sa fourchette de moyen-long terme, les Etats-Unis confirmant leur première place mondiale (32,6 millions d’hectolitres) devant la France (27 millions).
Sur le marché des exportations, l’Espagne conserve sa première place des pays exportateurs en volume avec une part de marché mondial de 20,5%, tandis que la France garde sa place de leader en valeur avec 9,0 milliards d’euros exportés l’an dernier.
Au total, les exportation mondiales ont totalisé 107,9 millions d’hectolitres en 2017, en hausse de 3,8% par rapport à l’année précédente, et 30,4 milliards d’euros en valeur.
“Cette production historiquement faible s’explique surtout par des conditions climatiques défavorables au sein de l’Union européenne”, souligne l’OIV dans un communiqué.
La production n’avait pas été aussi faible depuis 1957, année où elle était tombée à 173,8 millions d’hectolitres.
En Italie, premier producteur mondial, la chute a été de 17% en valeur, tandis qu’elle a atteint 19% en France (2e rang mondial) où des épisodes de gel ont particulièrement touché le Bordelais, les Charentes, le Jura et l’Alsace.
En troisième place, l’Espagne n’a pas été épargnée, avec un décrochage de sa production de 20%.
La production a limitée sa baisse à 1,0% aux Etats-Unis, quatrième producteur mondial, ainsi qu’en Chine qui s’est hissée au septième rang mondial des producteurs de vin derrière l’Australie et l’Argentine.
Les tendances ont été contrastées en Amérique latine, avec une hausse de 25% en Argentine et un recul de 6% au Chili (9e rang mondial).
La consommation de vin s’est quant à elle stabilisée aux environs de 243 millions d’hectolitres en 2017, contre 242 millions un an auparavant, dans sa fourchette de moyen-long terme, les Etats-Unis confirmant leur première place mondiale (32,6 millions d’hectolitres) devant la France (27 millions).
Sur le marché des exportations, l’Espagne conserve sa première place des pays exportateurs en volume avec une part de marché mondial de 20,5%, tandis que la France garde sa place de leader en valeur avec 9,0 milliards d’euros exportés l’an dernier.
Au total, les exportation mondiales ont totalisé 107,9 millions d’hectolitres en 2017, en hausse de 3,8% par rapport à l’année précédente, et 30,4 milliards d’euros en valeur.