"Chaque diffuseur a ses propres règles de supervision... Nous ne voyons pas d'objections à cela", a déclaré Selçuk Cobanoglu.
Parmi les scènes coupées pour le deuxième épisode de la série, diffusé mardi soir sur la première chaîne de la TRT, figure des images où des civils Palestiniens aux yeux bandés sont exécutés par des soldats israéliens, a-t-il dit.
Il a rejeté les accusations selon lesquelles la série incitait à la haine contre Israël.
Israël avait convoqué le chargé d'affaires turc à Tel Aviv pour protester contre la diffusion, le 13 octobre, du premier épisode de cette série intitulée Ayrilik (Séparation), accusée par les autorités israéliennes "d'incitation à la haine anti-israélienne".
Le film montre notamment des soldats israéliens en train d'abattre froidement une petite fille, un nouveau-né dans les bras de son père, ou de procéder à des exécutions sommaires.
La TRT, contactée par l'AFP, a refusé de commenter cette décision de censurer certains passages.
Les relations entre Israël et la Turquie, pourtant alliés stratégiques dans la région, se sont vivement tendues après les critiques du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre Israël, en raison de l'offensive massive de Tsahal dans la bande de Gaza, l'hiver dernier.
Cette tension s'est traduite par la décision d'Ankara d'écarter l'aviation israélienne des manoeuvres aériennes qui étaient prévues début septembre, en Turquie.
Parmi les scènes coupées pour le deuxième épisode de la série, diffusé mardi soir sur la première chaîne de la TRT, figure des images où des civils Palestiniens aux yeux bandés sont exécutés par des soldats israéliens, a-t-il dit.
Il a rejeté les accusations selon lesquelles la série incitait à la haine contre Israël.
Israël avait convoqué le chargé d'affaires turc à Tel Aviv pour protester contre la diffusion, le 13 octobre, du premier épisode de cette série intitulée Ayrilik (Séparation), accusée par les autorités israéliennes "d'incitation à la haine anti-israélienne".
Le film montre notamment des soldats israéliens en train d'abattre froidement une petite fille, un nouveau-né dans les bras de son père, ou de procéder à des exécutions sommaires.
La TRT, contactée par l'AFP, a refusé de commenter cette décision de censurer certains passages.
Les relations entre Israël et la Turquie, pourtant alliés stratégiques dans la région, se sont vivement tendues après les critiques du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre Israël, en raison de l'offensive massive de Tsahal dans la bande de Gaza, l'hiver dernier.
Cette tension s'est traduite par la décision d'Ankara d'écarter l'aviation israélienne des manoeuvres aériennes qui étaient prévues début septembre, en Turquie.