"J'ai lancé dès mon arrivée au ministère de l'intérieur un vaste plan d'équipement en matière de vidéo-protection, qui se traduira à la fin de cette année par un triplement des caméras de voie publique", a-t-elle déclaré. "On passera de 20 000 à 60 000", a précisé la ministre de l'intérieur, ajoutant avoir signé un décret le 22 janvier qui "facilite et raccourcit la procédure permettant d'accéder à de tels équipements".
Concernant les nouveaux déploiements de fonctionnaires de police, notamment en banlieue parisienne, Michèle Alliot-Marie a annoncé que "4 000 policiers vont être redéployés dans les quartiers et les départements les plus sensibles, avec la mise en place des Uteq [Unités territoriales de quartier NDLR] et des compagnies de sécurisation, qui se poursuivra jusqu'à fin 2011".
En dépit d'une baisse du chiffre de la délinquance de voie publique (– 6,3 % en 2008), les agressions sont de plus en plus violentes et commises par des personnes de plus en plus jeunes. Les vols à mains armées ont augmenté de 15 %. "La violence de certains délinquants, de plus en plus jeunes, nécessite une détermination sans faille de toute la chaîne de sécurité", souligne Mme Alliot-Marie dans le quotidien. Ces délits de voie publique touchent majoritairement les femmes, à 70 %. La ministre rappelle que "les victimes sont au cœur de son combat".
Concernant les nouveaux déploiements de fonctionnaires de police, notamment en banlieue parisienne, Michèle Alliot-Marie a annoncé que "4 000 policiers vont être redéployés dans les quartiers et les départements les plus sensibles, avec la mise en place des Uteq [Unités territoriales de quartier NDLR] et des compagnies de sécurisation, qui se poursuivra jusqu'à fin 2011".
En dépit d'une baisse du chiffre de la délinquance de voie publique (– 6,3 % en 2008), les agressions sont de plus en plus violentes et commises par des personnes de plus en plus jeunes. Les vols à mains armées ont augmenté de 15 %. "La violence de certains délinquants, de plus en plus jeunes, nécessite une détermination sans faille de toute la chaîne de sécurité", souligne Mme Alliot-Marie dans le quotidien. Ces délits de voie publique touchent majoritairement les femmes, à 70 %. La ministre rappelle que "les victimes sont au cœur de son combat".