Les enquêtes d’opinion indiquent qu’aucun parti de gauche comme de droite n’obtiendrait suffisamment d’élus pour prendre le contrôle du Parlement, qui compte 350 sièges.
Ces élections législatives, les quatrièmes en autant d’années, ont été annoncées en septembre après que le chef du gouvernement sortant, le socialiste Pedro Sanchez, a échoué à obtenir la confiance du Parlement et à conclure un accord de coalition gouvernementale.
Le Parti socialiste ouvrier (PSOE) de Sanchez était arrivé en tête du scrutin d’avril dernier sans parvenir à dégager de majorité dans une législature morcelée, où les députés du parti d’extrême droite Vox ont fait leur entrée.
Les dirigeants des principaux partis, qui s’étaient rejeté la faute après l’annonce de nouvelles élections, se sont de nouveau mutuellement accusés d’être responsables de l’impasse politique.
S’exprimant à Séville jeudi, Pedro Sanchez a incité les électeurs à se rendre aux urnes et a tenté de convaincre les indécis - un ensemble de sondages publié récemment par un organisme gouvernemental faisait état de 32% d’indécis parmi les électeurs.
“Le Parti socialiste est la seule formation politique qui peut garantir un gouvernement dans notre pays”, a dit l’actuel Premier ministre.
Le chef de file du Parti populaire (PP, conservateur) a accusé Sanchez de “tenir le pays en otage pour ses propres gains politiques”.
Pablo Casado, qui a décrit le scrutin comme un référendum sur Sanchez, s’est présenté comme le candidat d’une Espagne unifiée et a déclaré qu’il adopterait une ligne dure à l’égard du mouvement séparatiste.
Les préparatifs de la campagne électorale ont été éclipsés par les violentes manifestations qui ont éclaté en Catalogne après la condamnation à des peines d’emprisonnement de neuf dirigeants séparatistes pour la tentative de sécession de 2017.
Les récents sondages attribuent des gains aux partis de droite ayant adopté une ligne dure contre les séparatistes. Ainsi le parti Vox pourrait doubler le nombre de sièges dont il dispose au Parlement, montre une enquête d’opinion parue jeudi.
Ces élections législatives, les quatrièmes en autant d’années, ont été annoncées en septembre après que le chef du gouvernement sortant, le socialiste Pedro Sanchez, a échoué à obtenir la confiance du Parlement et à conclure un accord de coalition gouvernementale.
Le Parti socialiste ouvrier (PSOE) de Sanchez était arrivé en tête du scrutin d’avril dernier sans parvenir à dégager de majorité dans une législature morcelée, où les députés du parti d’extrême droite Vox ont fait leur entrée.
Les dirigeants des principaux partis, qui s’étaient rejeté la faute après l’annonce de nouvelles élections, se sont de nouveau mutuellement accusés d’être responsables de l’impasse politique.
S’exprimant à Séville jeudi, Pedro Sanchez a incité les électeurs à se rendre aux urnes et a tenté de convaincre les indécis - un ensemble de sondages publié récemment par un organisme gouvernemental faisait état de 32% d’indécis parmi les électeurs.
“Le Parti socialiste est la seule formation politique qui peut garantir un gouvernement dans notre pays”, a dit l’actuel Premier ministre.
Le chef de file du Parti populaire (PP, conservateur) a accusé Sanchez de “tenir le pays en otage pour ses propres gains politiques”.
Pablo Casado, qui a décrit le scrutin comme un référendum sur Sanchez, s’est présenté comme le candidat d’une Espagne unifiée et a déclaré qu’il adopterait une ligne dure à l’égard du mouvement séparatiste.
Les préparatifs de la campagne électorale ont été éclipsés par les violentes manifestations qui ont éclaté en Catalogne après la condamnation à des peines d’emprisonnement de neuf dirigeants séparatistes pour la tentative de sécession de 2017.
Les récents sondages attribuent des gains aux partis de droite ayant adopté une ligne dure contre les séparatistes. Ainsi le parti Vox pourrait doubler le nombre de sièges dont il dispose au Parlement, montre une enquête d’opinion parue jeudi.