Paul Louis Arslanian
"Les autopsies ont été pratiquées au Brésil, donc sous la responsabilité des autorités brésiliennes", a déclaré lors d'une conférence de presse le directeur du BEA, Paul Louis Arslanian.
"Nous avions sur place un médecin-enquêteur, un médecin qui travaille au BEA et qui a une certaine expérience non seulement des autopsies mais également des autopsies dans ce cadre", a-t-il ajouté 16 jours après la disparition du vol Rio-Paris au-dessus de l'Atlantique avec 228 personnes à bord.
"Ce médecin a été en contact avec ses collègues brésiliens et français. Il n'a pas été autorisé à participer aux autopsies", a-t-il dit en estimant que ce serait utile.
Paul-Louis Arslanian a indiqué que ce médecin avait "par exemple été associé par les Américains aux autopsies sur les victimes du TWA 800" au large des côtes américaines.
Le directeur du BEA a précisé qu'il ne disposait pas des premiers résultats des autopsies pratiquées par les Brésiliens.
Il a toutefois souligné que des "spécialistes français intervenant dans le cadre de la procédure judiciaire" avaient été "associés" aux autopsies et qu'il ne se lançait pas dans des "attaques" contre les autorités brésiliennes.
"Nous avions sur place un médecin-enquêteur, un médecin qui travaille au BEA et qui a une certaine expérience non seulement des autopsies mais également des autopsies dans ce cadre", a-t-il ajouté 16 jours après la disparition du vol Rio-Paris au-dessus de l'Atlantique avec 228 personnes à bord.
"Ce médecin a été en contact avec ses collègues brésiliens et français. Il n'a pas été autorisé à participer aux autopsies", a-t-il dit en estimant que ce serait utile.
Paul-Louis Arslanian a indiqué que ce médecin avait "par exemple été associé par les Américains aux autopsies sur les victimes du TWA 800" au large des côtes américaines.
Le directeur du BEA a précisé qu'il ne disposait pas des premiers résultats des autopsies pratiquées par les Brésiliens.
Il a toutefois souligné que des "spécialistes français intervenant dans le cadre de la procédure judiciaire" avaient été "associés" aux autopsies et qu'il ne se lançait pas dans des "attaques" contre les autorités brésiliennes.