Une source judiciaire a indiqué à Anadolu, sous couvert d’anonymat, que « le jeune Ibrahim Halawa, qui détient la nationalité irlandaise, a été relaxé par les services de sécurité depuis le poste de police d’Al-Azbakiya, dans le centre du Caire , après quatre ans de détention».
Sa libération a eu lieu environ un mois après son acquittement dans l’affaire connue du grand public par « les évènements d’Al Fath », survenus il y a quatre ans au Caire.
Halawa avait alors été accusé d’implication de ces grandes manifestations de l‘opposition qui avaient eu lieu dans la mosquée Al Fath au centre-ville du Caire en août 2013.
La page Facebook de la campagne pour la libération d’Ibrahim Halawa, a annoncé vendredi sa libération.
«Nous allons maintenant commencer à prendre des dispositions nécessaires pour le ramener chez lui, où il appartient, en Irlande, et nous ne saurions trop remercier tous ceux qui ont travaillé dur pour le libérer», ont indiqué les sympathisants de Halawa sur leur page Facebook.
Les autorités égyptiennes n'ont pas encore publié de déclaration officielle sur la libération d'Ibrahim Halawa; le fils de l'imam de la plus grande mosquée d'Irlande.
Le 18 septembre dernier, le Tribunal pénal du Caire a, lors d’un procès tenu dans la prison de Wadi al Natroun, dans le gouvernorat de Beheira , à 110 kilomètres au nord du Caire, acquitté 52 accusés, y compris le ressortissant irlandais, pour faute de preuves, dans cette affaire qui concerne au total 491 accusés.
Le tribunal a également condamné 43 accusés à la réclusion à perpétuité (25 ans), et 17 accusés à 15 ans. Le tribunal a condamné à 10 ans de prison 157 accusés (dont 155 par contumace). Enfin, 222 accusés ont été condamnés à 5 ans de prison ferme, avec 5 ans supplémentaires de surveillance administrative.
Le 28 août dernier, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a rejeté la demande du Premier ministre irlandais Leo Varadkar d'intervenir pour libérer l'Irlandais d'origine égyptienne.
Sa libération a eu lieu environ un mois après son acquittement dans l’affaire connue du grand public par « les évènements d’Al Fath », survenus il y a quatre ans au Caire.
Halawa avait alors été accusé d’implication de ces grandes manifestations de l‘opposition qui avaient eu lieu dans la mosquée Al Fath au centre-ville du Caire en août 2013.
La page Facebook de la campagne pour la libération d’Ibrahim Halawa, a annoncé vendredi sa libération.
«Nous allons maintenant commencer à prendre des dispositions nécessaires pour le ramener chez lui, où il appartient, en Irlande, et nous ne saurions trop remercier tous ceux qui ont travaillé dur pour le libérer», ont indiqué les sympathisants de Halawa sur leur page Facebook.
Les autorités égyptiennes n'ont pas encore publié de déclaration officielle sur la libération d'Ibrahim Halawa; le fils de l'imam de la plus grande mosquée d'Irlande.
Le 18 septembre dernier, le Tribunal pénal du Caire a, lors d’un procès tenu dans la prison de Wadi al Natroun, dans le gouvernorat de Beheira , à 110 kilomètres au nord du Caire, acquitté 52 accusés, y compris le ressortissant irlandais, pour faute de preuves, dans cette affaire qui concerne au total 491 accusés.
Le tribunal a également condamné 43 accusés à la réclusion à perpétuité (25 ans), et 17 accusés à 15 ans. Le tribunal a condamné à 10 ans de prison 157 accusés (dont 155 par contumace). Enfin, 222 accusés ont été condamnés à 5 ans de prison ferme, avec 5 ans supplémentaires de surveillance administrative.
Le 28 août dernier, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a rejeté la demande du Premier ministre irlandais Leo Varadkar d'intervenir pour libérer l'Irlandais d'origine égyptienne.