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C’est ce qui ressort d’un communiqué mis en ligne, mardi, par « Santé Canada » sur ses pages dans les réseaux sociaux.
« A la suite d’un examen accéléré, Santé Canada autorise l’utilisation du remdésivir (nom de marque : Veklury) pour le traitement au Canada de patients ayant de graves symptômes de Covid-19 », lit-on dans le communiqué.
Il s’agit, poursuit le communiqué, du «premier médicament autorisé par Santé Canada pour le traitement de la COVID-19 ».
« Le remdésivir est un antiviral qui est autorisé pour le traitement de patients qui ont de graves symptômes de COVID-19 et une pneumonie et qui ont besoin d'un apport additionnel d'oxygène pour les aider à respirer », ajoute le communiqué.
Parmi les conditions posées pour l’utilisation de ce traitement, développé à l’origine pour traiter la fièvre hémorragique Ebola qui avait fait des ravages en Afrique de l’Ouest notamment, figurent celles de l’âge (plus de 12 ans) et du poids (plus de 40 Kg), précise le communiqué.
De plus, le remdésivir, qui est administré par voie intraveineuse, « ne sera utilisé que dans des établissements de soins où les patients peuvent être suivis de près », souligne le communiqué de Santé Canada.
De même, le ministère fédéral exige du fabricant du médicament, en l’occurrence, « ilead Sciences Canada », qu’il assure « toujours l'innocuité, l'efficacité et la qualité » du traitement, lançant à ce propos qu’il continuera de surveiller de près l'innocuité du remdésivir au Canada et interviendra rapidement en cas de préoccupations relatives à l'innocuité ».
Ailleurs dans le monde, la Commission européenne avait autorisé, également, le recours au remdésivir, au début du mois de juillet, emboîtant le pas, notamment, aux Etats-Unis et au Japon
.
Le traitement, développé à l’origine pour traiter la fièvre hémorragique Ebola, avait précédemment été approuvé par d'autres pays, comme les États-Unis et le Japon.
Rappelons que le gouvernement canadien fédéral a alloué, depuis la propagation de la pandémie dans le ays, soit au début du mois dernier, des fonds d’une valeur de plusieurs centaines millions de dollars pour aider les laboratoires de recherche à trouver un vaccin ou des traitements pouvant guérir les personnes atteintes par le virus.
Au soir mardi, le Canada déplore 8.946 décès liés à la Covid-19 sur les 114 mille 994 contaminations confirmées, avec un peu plus de 100 mille rétablissements.
« A la suite d’un examen accéléré, Santé Canada autorise l’utilisation du remdésivir (nom de marque : Veklury) pour le traitement au Canada de patients ayant de graves symptômes de Covid-19 », lit-on dans le communiqué.
Il s’agit, poursuit le communiqué, du «premier médicament autorisé par Santé Canada pour le traitement de la COVID-19 ».
« Le remdésivir est un antiviral qui est autorisé pour le traitement de patients qui ont de graves symptômes de COVID-19 et une pneumonie et qui ont besoin d'un apport additionnel d'oxygène pour les aider à respirer », ajoute le communiqué.
Parmi les conditions posées pour l’utilisation de ce traitement, développé à l’origine pour traiter la fièvre hémorragique Ebola qui avait fait des ravages en Afrique de l’Ouest notamment, figurent celles de l’âge (plus de 12 ans) et du poids (plus de 40 Kg), précise le communiqué.
De plus, le remdésivir, qui est administré par voie intraveineuse, « ne sera utilisé que dans des établissements de soins où les patients peuvent être suivis de près », souligne le communiqué de Santé Canada.
De même, le ministère fédéral exige du fabricant du médicament, en l’occurrence, « ilead Sciences Canada », qu’il assure « toujours l'innocuité, l'efficacité et la qualité » du traitement, lançant à ce propos qu’il continuera de surveiller de près l'innocuité du remdésivir au Canada et interviendra rapidement en cas de préoccupations relatives à l'innocuité ».
Ailleurs dans le monde, la Commission européenne avait autorisé, également, le recours au remdésivir, au début du mois de juillet, emboîtant le pas, notamment, aux Etats-Unis et au Japon
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Le traitement, développé à l’origine pour traiter la fièvre hémorragique Ebola, avait précédemment été approuvé par d'autres pays, comme les États-Unis et le Japon.
Rappelons que le gouvernement canadien fédéral a alloué, depuis la propagation de la pandémie dans le ays, soit au début du mois dernier, des fonds d’une valeur de plusieurs centaines millions de dollars pour aider les laboratoires de recherche à trouver un vaccin ou des traitements pouvant guérir les personnes atteintes par le virus.
Au soir mardi, le Canada déplore 8.946 décès liés à la Covid-19 sur les 114 mille 994 contaminations confirmées, avec un peu plus de 100 mille rétablissements.
