« La région était déjà très déstabilisée avec la guerre en Syrie et l’annonce du retrait américain de l’accord de Vienne (nucléaire iranien) a contribué à renforcer cette déstabilisation » a-t-il indiqué à l’antenne de la chaîne d’information en continu BFMTV.
Pour le chef de la diplomatie française, « C’est une situation qui devient très dangereuse » au Moyen-Orient. Il estime qu’il « faut engager la désescalade, faire en sorte que le sang-froid revienne et éviter que les va-t-en guerre divers ne puissent se servir de l’occasion ».
Ces propos interviennent quelques jours après l’annonce par Donald Trump de retirer les Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien et deux jours après qu’Israël a procédé à des dizaines de frappes visant des positions iraniennes en Syrie.
A noter également qu’Israel a plébiscité le retrait américain de l’accord de Vienne signé en juillet 2015 entre l’Iran, et la France, les Etats-Unis, la Russie, la Chine, l’Allemagne et le Royaume-Uni, et qui vise à limiter l’enrichissement d’uranium iranien et à lever les sanctions économiques contre le pays.
« Il n’y a pas de plan B. Il y a le plan A qui est l’accord de Vienne et qu’il convient de respecter » a insisté Jean-Yves le Drian marquant la détermination de la France à maintenir l’accord et travailler avec les autres nations signataires à sa mise en œuvre.
Le ministre des affaires étrangères français sera d’ailleurs reçu mardi avec ses homologues allemand, britannique et iranien, Heiko Maas, Boris Johnson, et Mohamed Javad Zarif par la cheffe de la diplomatie européenne Frederica Mogherini à Bruxelles.
Pour le chef de la diplomatie française, « C’est une situation qui devient très dangereuse » au Moyen-Orient. Il estime qu’il « faut engager la désescalade, faire en sorte que le sang-froid revienne et éviter que les va-t-en guerre divers ne puissent se servir de l’occasion ».
Ces propos interviennent quelques jours après l’annonce par Donald Trump de retirer les Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien et deux jours après qu’Israël a procédé à des dizaines de frappes visant des positions iraniennes en Syrie.
A noter également qu’Israel a plébiscité le retrait américain de l’accord de Vienne signé en juillet 2015 entre l’Iran, et la France, les Etats-Unis, la Russie, la Chine, l’Allemagne et le Royaume-Uni, et qui vise à limiter l’enrichissement d’uranium iranien et à lever les sanctions économiques contre le pays.
« Il n’y a pas de plan B. Il y a le plan A qui est l’accord de Vienne et qu’il convient de respecter » a insisté Jean-Yves le Drian marquant la détermination de la France à maintenir l’accord et travailler avec les autres nations signataires à sa mise en œuvre.
Le ministre des affaires étrangères français sera d’ailleurs reçu mardi avec ses homologues allemand, britannique et iranien, Heiko Maas, Boris Johnson, et Mohamed Javad Zarif par la cheffe de la diplomatie européenne Frederica Mogherini à Bruxelles.